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GILLES AILLAUD — ED ATKINS — VALENTIN CARRON — GYÁRFÁS OLÁH SHARA HUGHES — JOCHEN LEMPERT — DANIEL STEEGMANN MANGRANÉ OTOBONG NKANGA — ROBERT RAUSCHENBERG — PAMELA ROSENKRANZ GISÈLE VIENNE
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GILLES AILLAUD — ED ATKINS — VALENTIN CARRON — GYÁRFÁS OLÁH
SHARA HUGHES — JOCHEN LEMPERT — DANIEL STEEGMANN MANGRANÉ
OTOBONG NKANGA — ROBERT RAUSCHENBERG — PAMELA ROSENKRANZ
GISÈLE VIENNE — YUYAN WANG — LUIGI ZUCCHERI — VINCENT VAN GOGH
Si la nature constitue l’un des principaux sujets picturaux de l’œuvre de Vincent van Gogh, elle est également l’environnement grâce auquel il déploie une lucidité joyeuse et créatrice. Dans une lettre à son frère Theo écrite depuis la Provence en 1889, il avouait sans encombre commencer à « sentir davantage l’ensemble de la nature dans laquelle il vit ».
Shara Hughes (*1981) ou encore Ed Atkins (*1982), deviendront dès lors des espaces d’interrogations personnelles, sociétales et historiques. Il s’agira aussi de s’intéresser aux relations, complices ou contrariées, qui unissent les artistes et le monde végétal et/ou animal, à l’image de ce qu’on peut percevoir chez Luigi Zuccheri (1904-1974), Gilles Aillaud (1928-2005) ou encore Daniel Steegmann Mangrané (*1977).
Si Van Gogh était profondément animé par l’utopie d’une rencontre authentique avec le milieu naturel, ce sont désormais les questions environnementales et technoscientifiques façonnant nos sociétés qui peuvent se trouver au centre des préoccupations des artistes contemporains. Finalement, si le terme de « nature » est le fruit de la pensée de l’homme, de quoi la nature humaine est-elle le nom ?Commissaires de l’exposition : Bice Curiger, Julia Marchand et Margaux Bonopera
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Date(s)
11 novembre 2022 - 10 avril 2023

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Depuis la création de sa Section d’Art Photographique en 1965, le musée Réattu, n’a eu de cesse de participer en tant que musée des beaux-arts à la reconnaissance de la
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Depuis la création de sa Section d’Art Photographique en 1965, le musée Réattu, n’a eu de cesse de participer en tant que musée des beaux-arts à la reconnaissance de la photographie comme un art majeur à part entière, au même rang que la peinture ou la sculpture. Le musée a ainsi accompagné et accueilli de nombreux artistes dont les recherches plastiques faisaient sens dans ce lieu qui fut la maison d’un peintre de la fin du 18ème siècle, Jacques Réattu, Grand Prix de Rome. Une part importante de la collection est ainsi consacrée à ces artistes dits plasticiens qui utilisent le médium photographique dans des formes inusités, exploration du mystère de l’apparition de l’image.
Le travail d’Annabel Aoun Blanco (photographe, vidéaste et plasticienne) vient ainsi s’intercaler entre la démarche d’un photographe «classique» et celle d’un plasticien faisant apparaître des images. En effet, « l’outil » de l’artiste est l’appareil photo avec toutes ses caractéristiques techniques (objectif, mise au point, distance focale, diaphragme, temps de pose, éclairage) mais, au service autant de l’apparition de l’image que de sa disparition.
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Date(s)
19 novembre 2022 - 30 avril 2023

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Manifeste Æsthethic, Diana Hajji, Robin Maddock, Jean-Luc Dubin, Yang Jingsong, Antoine Leroux-Dhuys, Cynthia Copper, Diana Lui, Joel Person, Pradeep Mishra, Gao Brothers, Qiu Ji , Gilles Serrand, Sidony Cloud, Li Bo,
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Manifeste Æsthethic, Diana Hajji, Robin Maddock, Jean-Luc Dubin, Yang Jingsong, Antoine Leroux-Dhuys, Cynthia Copper, Diana Lui, Joel Person, Pradeep Mishra, Gao Brothers, Qiu Ji , Gilles Serrand, Sidony Cloud, Li Bo, Pan Yue, Edmond Li-Bellefroid, Max Donoso, Harold Ambellan, Philippine Schaefer, Katia Kameneva, Pan Yue, Julien Batifole.
L’idée de l’exposition est née à la Charcuterie Arlésienne en parlant autour d’un verre avec des amis artistes. Il se trouve qu’on venait de quitter notre ancienne galerie de la rue de Grille avec un coeur lourd. En chargeant notre FIAT Panda des oeuvres, on s’est aperçu qu’on avait oublié quelques oeuvres dans la galerie. Une madone de Diana Lui, la Madonna della lacrime napolitaine de Jean-Luc Dubin et une vierge de Diana Hajji. « All The Virgins I Left Behind » ,… en français « Toutes les vierges que j’ai délaissées »,… Beau, belle, … l’aventure arlésienne continue grâce à la Galerie SINIBALDI où nous sommes étrangement sous la protection d’une belle Vierge, une statuette dans une niche en pierre qui veille sur nous.
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Date(s)
01 janvier 2023 - 31 mars 2023
Lieux
Galerie Sinibaldi
24 rue de l'Hôtel de ville 13200 Arles

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Au-delà d’une discipline, Gilles exprime des expressions multiples où se tissent la trame d’histoires mêlées, empreintes d’émotions particulières, dans le but de nous transmettre l’élégance du moment, portées par un
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Au-delà d’une discipline, Gilles exprime des expressions multiples où se tissent la trame d’histoires mêlées, empreintes d’émotions particulières, dans le but de nous transmettre l’élégance du moment, portées par un flux constant de musique intérieure.
Danseur, il porte son énergie vers un ailleurs, sans frontières, tout en étant cadré par la grille du monde, notamment à travers ses études d’architecture. La danse offre des intervalles comme le cadran du temps et de l’espace et permet d’ajuster le flux vital qui lient les êtres et fait ressentir les choses. Gilles provoque cet espace-temps fugitif et succinct pour le rendre leste.
L’exposition l’Espace entre les choses est une volonté de rétrospective sur le travail de Gilles Massot dont le fil rouge est l’histoire de l’image, sa fabrication et sa reproduction. L’exposition est avant tout une question sur les multiples connexions qui font le travail pluridisciplinaire de Gilles Massot, réunissant les traces d’une grande partie de sa vie d’artiste et d’historien voyageur.
Les séquences de l’exposition font référence au processus qui sous-tend son travail ; un processus qui lui fait établir au fil des ans des liens entre des récits, des techniques, des occurrences et des parties du monde. La sélection d’œuvres s’engage comme un décryptage des idées et réflexions de l’artiste sur notre rapport à l’image, à la photographie et à la création ; le temps et l’espace, deux thèmes au cœur de sa quête.
Regard précurseur sur le mélange des médiums, par la théorie, Gilles nous dévoile un espace blanc complexe, une image en devenir ou déjà passée et ainsi invisible. Il nous propose une réécriture de l’histoire de la photographie, en parcourant les prémices d’un des premiers reporters photographe Jules Itier, jusqu’aux mystères des pyramides d’Égypte. L’ensemble confronte la mondialisation à la diversité et la multiplication des usages.
dernière entrée 30 minutes avant la fermeturePlein tarif / Full rate : 6€
Tarif réduit / Reduced rate : 4€
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Date(s)
04 mars 2023 - 28 mai 2023
avril

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GILLES AILLAUD — ED ATKINS — VALENTIN CARRON — GYÁRFÁS OLÁH SHARA HUGHES — JOCHEN LEMPERT — DANIEL STEEGMANN MANGRANÉ OTOBONG NKANGA — ROBERT RAUSCHENBERG — PAMELA ROSENKRANZ GISÈLE VIENNE
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GILLES AILLAUD — ED ATKINS — VALENTIN CARRON — GYÁRFÁS OLÁH
SHARA HUGHES — JOCHEN LEMPERT — DANIEL STEEGMANN MANGRANÉ
OTOBONG NKANGA — ROBERT RAUSCHENBERG — PAMELA ROSENKRANZ
GISÈLE VIENNE — YUYAN WANG — LUIGI ZUCCHERI — VINCENT VAN GOGH
Si la nature constitue l’un des principaux sujets picturaux de l’œuvre de Vincent van Gogh, elle est également l’environnement grâce auquel il déploie une lucidité joyeuse et créatrice. Dans une lettre à son frère Theo écrite depuis la Provence en 1889, il avouait sans encombre commencer à « sentir davantage l’ensemble de la nature dans laquelle il vit ».
Shara Hughes (*1981) ou encore Ed Atkins (*1982), deviendront dès lors des espaces d’interrogations personnelles, sociétales et historiques. Il s’agira aussi de s’intéresser aux relations, complices ou contrariées, qui unissent les artistes et le monde végétal et/ou animal, à l’image de ce qu’on peut percevoir chez Luigi Zuccheri (1904-1974), Gilles Aillaud (1928-2005) ou encore Daniel Steegmann Mangrané (*1977).
Si Van Gogh était profondément animé par l’utopie d’une rencontre authentique avec le milieu naturel, ce sont désormais les questions environnementales et technoscientifiques façonnant nos sociétés qui peuvent se trouver au centre des préoccupations des artistes contemporains. Finalement, si le terme de « nature » est le fruit de la pensée de l’homme, de quoi la nature humaine est-elle le nom ?Commissaires de l’exposition : Bice Curiger, Julia Marchand et Margaux Bonopera
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Date(s)
11 novembre 2022 - 10 avril 2023

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Depuis la création de sa Section d’Art Photographique en 1965, le musée Réattu, n’a eu de cesse de participer en tant que musée des beaux-arts à la reconnaissance de la
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Depuis la création de sa Section d’Art Photographique en 1965, le musée Réattu, n’a eu de cesse de participer en tant que musée des beaux-arts à la reconnaissance de la photographie comme un art majeur à part entière, au même rang que la peinture ou la sculpture. Le musée a ainsi accompagné et accueilli de nombreux artistes dont les recherches plastiques faisaient sens dans ce lieu qui fut la maison d’un peintre de la fin du 18ème siècle, Jacques Réattu, Grand Prix de Rome. Une part importante de la collection est ainsi consacrée à ces artistes dits plasticiens qui utilisent le médium photographique dans des formes inusités, exploration du mystère de l’apparition de l’image.
Le travail d’Annabel Aoun Blanco (photographe, vidéaste et plasticienne) vient ainsi s’intercaler entre la démarche d’un photographe «classique» et celle d’un plasticien faisant apparaître des images. En effet, « l’outil » de l’artiste est l’appareil photo avec toutes ses caractéristiques techniques (objectif, mise au point, distance focale, diaphragme, temps de pose, éclairage) mais, au service autant de l’apparition de l’image que de sa disparition.
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Date(s)
19 novembre 2022 - 30 avril 2023

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Au-delà d’une discipline, Gilles exprime des expressions multiples où se tissent la trame d’histoires mêlées, empreintes d’émotions particulières, dans le but de nous transmettre l’élégance du moment, portées par un
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Au-delà d’une discipline, Gilles exprime des expressions multiples où se tissent la trame d’histoires mêlées, empreintes d’émotions particulières, dans le but de nous transmettre l’élégance du moment, portées par un flux constant de musique intérieure.
Danseur, il porte son énergie vers un ailleurs, sans frontières, tout en étant cadré par la grille du monde, notamment à travers ses études d’architecture. La danse offre des intervalles comme le cadran du temps et de l’espace et permet d’ajuster le flux vital qui lient les êtres et fait ressentir les choses. Gilles provoque cet espace-temps fugitif et succinct pour le rendre leste.
L’exposition l’Espace entre les choses est une volonté de rétrospective sur le travail de Gilles Massot dont le fil rouge est l’histoire de l’image, sa fabrication et sa reproduction. L’exposition est avant tout une question sur les multiples connexions qui font le travail pluridisciplinaire de Gilles Massot, réunissant les traces d’une grande partie de sa vie d’artiste et d’historien voyageur.
Les séquences de l’exposition font référence au processus qui sous-tend son travail ; un processus qui lui fait établir au fil des ans des liens entre des récits, des techniques, des occurrences et des parties du monde. La sélection d’œuvres s’engage comme un décryptage des idées et réflexions de l’artiste sur notre rapport à l’image, à la photographie et à la création ; le temps et l’espace, deux thèmes au cœur de sa quête.
Regard précurseur sur le mélange des médiums, par la théorie, Gilles nous dévoile un espace blanc complexe, une image en devenir ou déjà passée et ainsi invisible. Il nous propose une réécriture de l’histoire de la photographie, en parcourant les prémices d’un des premiers reporters photographe Jules Itier, jusqu’aux mystères des pyramides d’Égypte. L’ensemble confronte la mondialisation à la diversité et la multiplication des usages.
dernière entrée 30 minutes avant la fermeturePlein tarif / Full rate : 6€
Tarif réduit / Reduced rate : 4€
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Date(s)
04 mars 2023 - 28 mai 2023

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Anne Clergue Galerie est heureuse de présenter le premier solo show de Swan Soto la Bête du Vaccarès. Huiles sur toiles, encres sur papier, empègues et pochoirs rehaussés, céramiques seront
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Anne Clergue Galerie est heureuse de présenter le premier solo show de Swan Soto la Bête du Vaccarès. Huiles sur toiles, encres sur papier, empègues et pochoirs rehaussés, céramiques seront présentées du 6 Avril au 17 Juin 2023.
Swan Soto est un enfant sauvage. Le chemin exigeant et merveilleux qui l’a amené à devenir torero, entre Garrigues et Camargue, Cévennes et Andalousie le portera naturellement vers la peinture. Swan a commencé à peindre et toréer presque en même temps. Swan Soto n’est pas peintre-torero, ni torero-peintre, Swan est peintre.
Mais pour que la peinture l’habite complètement, il a fallu d’abord passer par des moments de gloire liés à l’épreuve du sang, devenir torero ! Adoubé et reconnu par ses pairs, il aura une carrière remarquée, entre la France, l’Espagne, le Mexique et le Pérou.
L’enfant du pays, encouragé et suivi par l’éleveur Jean Lafont, propriétaire de la célèbre discothèque la Churascaia, est baigné dans l’univers de cet homme de goût chez qui l’art et le raffinement occupent toute la place. Il se nourrit des peintres surréalistes, découvre les livres rares qui s’offrent à lui.
En 2008, il quitte les arènes pour se consacrer pleinement à la peinture. S’il ne dessine plus de passes, seul, devant son public, c’est face à la toile qu’il continue à exprimer ses rêves.
Un territoire où cohabitent taureaux, chevaux, gardians, une nature riche en diversité, qui vibre au rythme des saisons et des fêtes de villages. L’univers du peintre est occupé par les souvenirs et les rencontres liés à sa carrière et à sa terre camarguaise, tantôt brûlée par le soleil, tantôt sous les eaux du fleuve en colère.
Dans son atelier nîmois, la fenêtre ouverte sur le ciel, il a troqué son habit de lumière pour revêtir sa blouse de peintre. Il dessine, peint, sculpte; il écrit sa trace, comme une poésie ininterrompue.
Swan Soto est né à Nîmes en 1976. Elève du Centre Français de Tauromachie, il devient torero le 19 Mars 1998 à Benicarlo en Espagne. Il quitte les taureaux en 2008 pour se consacrer pleinement à la peinture. Il vit à Nîmes.
Vernissage le 5 Avril en présence de l’artiste.
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06 avril 2023 - 17 juin 2023
mai

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Au-delà d’une discipline, Gilles exprime des expressions multiples où se tissent la trame d’histoires mêlées, empreintes d’émotions particulières, dans le but de nous transmettre l’élégance du moment, portées par un
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Au-delà d’une discipline, Gilles exprime des expressions multiples où se tissent la trame d’histoires mêlées, empreintes d’émotions particulières, dans le but de nous transmettre l’élégance du moment, portées par un flux constant de musique intérieure.
Danseur, il porte son énergie vers un ailleurs, sans frontières, tout en étant cadré par la grille du monde, notamment à travers ses études d’architecture. La danse offre des intervalles comme le cadran du temps et de l’espace et permet d’ajuster le flux vital qui lient les êtres et fait ressentir les choses. Gilles provoque cet espace-temps fugitif et succinct pour le rendre leste.
L’exposition l’Espace entre les choses est une volonté de rétrospective sur le travail de Gilles Massot dont le fil rouge est l’histoire de l’image, sa fabrication et sa reproduction. L’exposition est avant tout une question sur les multiples connexions qui font le travail pluridisciplinaire de Gilles Massot, réunissant les traces d’une grande partie de sa vie d’artiste et d’historien voyageur.
Les séquences de l’exposition font référence au processus qui sous-tend son travail ; un processus qui lui fait établir au fil des ans des liens entre des récits, des techniques, des occurrences et des parties du monde. La sélection d’œuvres s’engage comme un décryptage des idées et réflexions de l’artiste sur notre rapport à l’image, à la photographie et à la création ; le temps et l’espace, deux thèmes au cœur de sa quête.
Regard précurseur sur le mélange des médiums, par la théorie, Gilles nous dévoile un espace blanc complexe, une image en devenir ou déjà passée et ainsi invisible. Il nous propose une réécriture de l’histoire de la photographie, en parcourant les prémices d’un des premiers reporters photographe Jules Itier, jusqu’aux mystères des pyramides d’Égypte. L’ensemble confronte la mondialisation à la diversité et la multiplication des usages.
dernière entrée 30 minutes avant la fermeturePlein tarif / Full rate : 6€
Tarif réduit / Reduced rate : 4€
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04 mars 2023 - 28 mai 2023

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Anne Clergue Galerie est heureuse de présenter le premier solo show de Swan Soto la Bête du Vaccarès. Huiles sur toiles, encres sur papier, empègues et pochoirs rehaussés, céramiques seront
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Anne Clergue Galerie est heureuse de présenter le premier solo show de Swan Soto la Bête du Vaccarès. Huiles sur toiles, encres sur papier, empègues et pochoirs rehaussés, céramiques seront présentées du 6 Avril au 17 Juin 2023.
Swan Soto est un enfant sauvage. Le chemin exigeant et merveilleux qui l’a amené à devenir torero, entre Garrigues et Camargue, Cévennes et Andalousie le portera naturellement vers la peinture. Swan a commencé à peindre et toréer presque en même temps. Swan Soto n’est pas peintre-torero, ni torero-peintre, Swan est peintre.
Mais pour que la peinture l’habite complètement, il a fallu d’abord passer par des moments de gloire liés à l’épreuve du sang, devenir torero ! Adoubé et reconnu par ses pairs, il aura une carrière remarquée, entre la France, l’Espagne, le Mexique et le Pérou.
L’enfant du pays, encouragé et suivi par l’éleveur Jean Lafont, propriétaire de la célèbre discothèque la Churascaia, est baigné dans l’univers de cet homme de goût chez qui l’art et le raffinement occupent toute la place. Il se nourrit des peintres surréalistes, découvre les livres rares qui s’offrent à lui.
En 2008, il quitte les arènes pour se consacrer pleinement à la peinture. S’il ne dessine plus de passes, seul, devant son public, c’est face à la toile qu’il continue à exprimer ses rêves.
Un territoire où cohabitent taureaux, chevaux, gardians, une nature riche en diversité, qui vibre au rythme des saisons et des fêtes de villages. L’univers du peintre est occupé par les souvenirs et les rencontres liés à sa carrière et à sa terre camarguaise, tantôt brûlée par le soleil, tantôt sous les eaux du fleuve en colère.
Dans son atelier nîmois, la fenêtre ouverte sur le ciel, il a troqué son habit de lumière pour revêtir sa blouse de peintre. Il dessine, peint, sculpte; il écrit sa trace, comme une poésie ininterrompue.
Swan Soto est né à Nîmes en 1976. Elève du Centre Français de Tauromachie, il devient torero le 19 Mars 1998 à Benicarlo en Espagne. Il quitte les taureaux en 2008 pour se consacrer pleinement à la peinture. Il vit à Nîmes.
Vernissage le 5 Avril en présence de l’artiste.
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Date(s)
06 avril 2023 - 17 juin 2023
juin

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Anne Clergue Galerie est heureuse de présenter le premier solo show de Swan Soto la Bête du Vaccarès. Huiles sur toiles, encres sur papier, empègues et pochoirs rehaussés, céramiques seront
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Anne Clergue Galerie est heureuse de présenter le premier solo show de Swan Soto la Bête du Vaccarès. Huiles sur toiles, encres sur papier, empègues et pochoirs rehaussés, céramiques seront présentées du 6 Avril au 17 Juin 2023.
Swan Soto est un enfant sauvage. Le chemin exigeant et merveilleux qui l’a amené à devenir torero, entre Garrigues et Camargue, Cévennes et Andalousie le portera naturellement vers la peinture. Swan a commencé à peindre et toréer presque en même temps. Swan Soto n’est pas peintre-torero, ni torero-peintre, Swan est peintre.
Mais pour que la peinture l’habite complètement, il a fallu d’abord passer par des moments de gloire liés à l’épreuve du sang, devenir torero ! Adoubé et reconnu par ses pairs, il aura une carrière remarquée, entre la France, l’Espagne, le Mexique et le Pérou.
L’enfant du pays, encouragé et suivi par l’éleveur Jean Lafont, propriétaire de la célèbre discothèque la Churascaia, est baigné dans l’univers de cet homme de goût chez qui l’art et le raffinement occupent toute la place. Il se nourrit des peintres surréalistes, découvre les livres rares qui s’offrent à lui.
En 2008, il quitte les arènes pour se consacrer pleinement à la peinture. S’il ne dessine plus de passes, seul, devant son public, c’est face à la toile qu’il continue à exprimer ses rêves.
Un territoire où cohabitent taureaux, chevaux, gardians, une nature riche en diversité, qui vibre au rythme des saisons et des fêtes de villages. L’univers du peintre est occupé par les souvenirs et les rencontres liés à sa carrière et à sa terre camarguaise, tantôt brûlée par le soleil, tantôt sous les eaux du fleuve en colère.
Dans son atelier nîmois, la fenêtre ouverte sur le ciel, il a troqué son habit de lumière pour revêtir sa blouse de peintre. Il dessine, peint, sculpte; il écrit sa trace, comme une poésie ininterrompue.
Swan Soto est né à Nîmes en 1976. Elève du Centre Français de Tauromachie, il devient torero le 19 Mars 1998 à Benicarlo en Espagne. Il quitte les taureaux en 2008 pour se consacrer pleinement à la peinture. Il vit à Nîmes.
Vernissage le 5 Avril en présence de l’artiste.
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Date(s)
06 avril 2023 - 17 juin 2023