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30 ANS DE CARRE D’ART Anniversaire le 9 mai à 18h La Ville porte une ambition forte en matière d’offre culturelle. Riche d’une diversité d’établissements, représentant les champs variés de
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30 ANS DE CARRE D’ART
Anniversaire le 9 mai à 18h
La Ville porte une ambition forte en matière d’offre culturelle. Riche d’une diversité d’établissements, représentant les champs variés de la culture, des savoirs et des traditions, Nîmes célèbre en 2023 les 30 ans de Carré d’Art, inauguré le 9 mai 1993. Bâtiment au geste architectural fort imaginé par l’architecte anglais Lord Norman Foster, il trône en cœur de ville, sur l’ancienne place du Forum romain, en résonance avec la Maison Carrée.
Au sein de ce site exceptionnel, Carré d’Art – Musée d’art contemporain a pour mission de collectionner, conserver, présenter la création contemporaine et la rendre accessible au public le plus large possible à travers des expositions, publications et des projets pédagogiques.
DES EXPOSITIONS DANS TOUTE LA VILLE
C’est ainsi que la programmation culturelle des expositions 2023 sera principalement consacrée à cet anniversaire. Ce sera l’occasion de mettre en valeur la richesse de la collection de Carré d’Art – Musée d’art contemporain, dont les premières acquisitions datent de 1986 dans un partenariat du Ministère de la Culture et de la Ville de Nîmes. Il faut rappeler que les collections publiques sont inaliénables.
La collection de Carré d’Art – Musée d’art contemporain s’est considérablement enrichie par les dons des artistes, collectionneurs et galeries depuis la création du musée. Aujourd’hui elle figure comme l’une des collections d’art contemporain les plus importantes à un niveau national et international.
Pour célébrer ce 30e anniversaire, l’art contemporain sera également présent dans toute la ville, de mars à décembre, au Musée du Vieux Nîmes, au Muséum d’histoire naturelle, au Musée des Beaux-Arts, au Musée des Cultures Taurines. Au Musée de la Romanité sera présentée, à partir du 21 avril, une exposition personnelle d’Oliver Laric qui a travaillé sur les collections archéologiques.
« Nîmes est une cité au patrimoine historique exceptionnel, assise sur 2 000 ans d’histoire. Mais elle est aussi une ville résolument moderne, vivant avec son temps. Carré d’Art, imaginé il y a 30 ans par Lord Norman Foster, résume à merveille cette double identité. Cet anniversaire est l’occasion de redécouvrir la richesse des expositions du musée d’art contemporain, dont la renommée internationale n’est plus à prouver », se félicite Jean-Paul Fournier, Maire de Nîmes.
« Sous la houlette de Jean-Marc Prévost, directeur de Carré d’art – Musée d’art contemporain qui a coordonné les opérations, tous les musées de la Ville offriront à leurs visiteurs un espace dédié à l’art contemporain issu des collections de Carré d’art pour célébrer cet anniversaire », explique Sophie Roulle, Adjointe déléguée à la culture.
UN REGARD PARTICULIER SUR L’ART CONTEMPORAIN
Les musées ont particulièrement aujourd’hui un rôle à jouer pour comprendre le passé, penser le monde de demain, développer un espace critique loin de la spectacularisation et l’instrumentalisation de l’art.
Porter un regard sur les œuvres d’une collection, c’est les penser dans leur contexte historique, qu’il soit esthétique ou politique et en lien avec le présent et le futur. La collection est présentée d’un point de vue, à un moment précis dans lequel la globalisation, les réseaux et de nouveaux enjeux écologiques ou sociétaux ont profondément renouvelé notre rapport au monde.
L’exposition de toute collection de musée sera toujours un processus d’apprentissage, ainsi qu’une démarche amenant à des questionnements. En choisissant de raconter une histoire, beaucoup d’autres sont abandonnées.
Bien que Carré d’Art n’ait pas comme mission une vision universaliste, l’accrochage montre que, dans les dernières décennies, l’Europe et les Etats-Unis ne sont plus les seuls continents. D’autres parties du monde comme le Moyen-Orient ou l’Asie ont leur place pour montrer la complexité du monde dans lequel nous vivons. Une réinterprétation de l’histoire a aussi permis ces dernières années de repenser la place des femmes et des minorités qui sont visibles dans la collection et la programmation.
LA CREATION D’UN RENDEZ-VOUS INTERNATIONAL DES 2024
« Les 30 ans de Carré d’Art marquent ainsi le lancement d’une nouvelle histoire où l’art contemporain va occuper une place prépondérante. Ainsi, dès 2024, Jean-Paul Fournier, Maire de Nîmes, et moi-même avons souhaité la création d’une grande manifestation, d’ampleur internationale, dédiée à l’art contemporain, ancrée sur le territoire local et associant la population nîmoise et des artistes locaux. Un nouveau rendez-vous fort, pour lequel nous venons de choisir la direction artistique, qui permettra de développer une autre forme de culture tournée vers l’avenir et d’accroître l’attractivité de notre ville », conclut Sophie Roulle, Adjointe déléguée à la culture.
Programme complet
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Date(s)
17 janvier 2023 - 31 décembre 2023
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Pour la première fois depuis son inauguration en juin 2018, le Musée de la Romanité explore le lien entre l’Antiquité et le monde actuel, pour mettre en valeur ses collections
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Pour la première fois depuis son inauguration en juin 2018, le Musée de la Romanité explore le lien entre l’Antiquité et le monde actuel, pour mettre en valeur ses collections archéologiques et s’inscrire dans une démarche artistique contemporaine liée au digital. En collaboration avec Carré d’art, musée d’art contemporain de la ville de Nîmes, qui fête ses 30 ans cette année, le Musée de la Romanité présentera le travail d’Oliver Laric d’avril à décembre 2023. Ce sculpteur autrichien s’inspire de la statuaire gréco-romaine antique pour en proposer des ré-interprétations, notamment grâce aux technologies digitales.
À l’occasion de cette exposition, Oliver Laric proposera une quinzaine de sculptures originales et plusieurs autres productions numériques, inspirées d’œuvres des collections permanentes du Musée de la Romanité et plus généralement de l’héritage antique de Nîmes. Oliver Laric est né à Innsbruck (Autriche) en 1981. Diplômé en
2007 de l’Université des Arts appliqués de Vienne, il s’illustre dans le courant artistique dit « post-internet » dès 2006.
À partir de la fin des années 2010, il développe une production artistique matérielle mais toujours ancrée dans l’art digital qui interroge le caractère d’unicité de l’œuvre d’art.
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Date(s)
21 avril 2023 - 31 décembre 2023
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Connu pour ses œuvres rapportant des récits oubliés ou négligés dans les archives matérielles de l’histoire et du temps,
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Connu pour ses œuvres rapportant des récits oubliés ou négligés dans les archives matérielles de l’histoire et du temps, Christodoulos Panayiotou traite des processus de valeur, des concepts de politique et de nation, et des autres mythologies qui nous unissent et nous divisent.
Fantasme, désir, mises en scène de la désillusion et histoires politiques multiples sont les matériaux clefs de cette exposition qui, pour la première fois, rassemblera des travaux de l’ensemble de la carrière de l’artiste. Des œuvres couvrant deux décennies de production artistique circuleront dans l’espace d’exposition pendant un an, en rotation selon le calendrier et les saisons solaires. Leur arrivée et leur départ marqueront des moments précis, créant un intrigant réseau de gestes performatifs et d’associations.
Combinant les héritages de l’art vernaculaire et de l’architecture avec des traditions de la peinture byzantine, des sculptures en verre méticuleusement ouvragées, des dispositifs de mesure du temps, des décors théâtraux et des objets chargés d’histoire, One Year [Un An] évolue comme une composition temporelle et spatiale éphémère. Le désir d’expérimenter avec l’espace d’exposition, comme paysage en constante évolution, se manifeste par des transformations radicales qui brouillent les frontières de la narration et de l’expérience. Inaugurée par un prologue en mai 2023, l’exposition se déploiera sur les saisons de l’été, de l’automne, de l’hiver et du printemps, pour se clore en un épilogue en juin 2024.
Christodoulos Panayiotou a été accueilli en résidence à LUMA Arles de septembre à novembre 2021.
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Date(s)
26 mai 2023 - 30 juin 2024
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Les images méconnues de la guerre d’Espagne (1936 – 1939) Quel impact peuvent avoir des photographies que leur auteur a choisi de garder secrètes ? Il y a quatre ans, dans une
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Les images méconnues de la guerre d’Espagne (1936 – 1939)
Quel impact peuvent avoir des photographies que leur auteur a choisi de garder secrètes ?
Il y a quatre ans, dans une maison près de Barcelone qui allait être démolie, deux boîtes rouges ont été retrouvées contenant 5 000 photographies sur la guerre d’Espagne (1936-1939) prises par Antoni Campañà i Bandranas (Arbúcies,1906 – St. Cugat del Vallès, 1989), l’un des plus grands photographes catalans du 20e siècle.
Pour quelles raisons a-t-il choisi de cacher son regard sur la guerre ? Il était catholique et pourtant il photographia la révolution anarchiste qui embrasa les églises de la capitale catalane. Il était libéral et nationaliste catalan, et pourtant il photographia la montée du fascisme espagnol dans les rues de Barcelone. Antoni Campañà n’était pas un héros. Il n’a pas choisi la guerre, mais elle l’a rattrapé. Et il n’a pas fui, il a continué à photographier, cherchant inlassablement la beauté à travers son objectif, car depuis son adolescence c’était sa passion. Jusqu’au coup d’État fasciste de l’été 1936.
Son appareil photo est synonyme de complexité. Il n’a pas photographié une ville en guerre, il a photographié sa ville en guerre, comme un pays se photographiant lui-même.
Contrairement aux grands photographes étrangers qui ont débarqué dans une Espagne déchirée, Campañà connaissait intimement la réalité du terrain. A la différence d’autres grands photographes de son pays, il n’a pas mis son appareil photo au service d’une cause idéologique. Il s’en est servi uniquement pour exprimer sa propre douleur.
Il ne prenait pas des photos dans un but politique, mais toutes les parties en conflit ont tiré parti de son extraordinaire capacité d’évocation, plus qu’elles ne le firent avec d’autres photographes. En écrivant des légendes radicalement différentes, les républicains et les fascistes ont manipulé les mêmes photographies de Campañà à des fins propagandistes antagonistes, démontrant que celui qui écrit la légende s’approprie toujours l’image.
Après la fin de la guerre, en 1939, il conserva ses cinq mille photographies – presque toutes inédites – dans deux boîtes rouges qu’il refusa d’ouvrir et ce, même à la mort de Franco, quarante ans plus tard : il ne voulait pas que la dictature utilise ses photos pour identifier et punir les combattants républicains. Comme tant et tant d’Espagnols, il souhaitait avant tout oublier. Ainsi il a caché ses icônes de douleur dans les deux boîtes que nous ouvrons à présent.
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Date(s)
29 juin 2023 - 10 décembre 2023
Lieux
Pavillon Populaire
Esplanade Charles-de-Gaulle, 34000 Montpellier
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Les sculptures de Katinka Bock, en céramique, pierre, bois ou métal entretiennent des liens profonds avec les sites dans lesquels elle expose, l’architecture du lieu qui l’accueille ou même parfois
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Les sculptures de Katinka Bock, en céramique, pierre, bois ou métal entretiennent des liens profonds avec les sites dans lesquels elle expose, l’architecture du lieu qui l’accueille ou même parfois le contexte culturel, historique ou social d’une ville.
Lorsqu’elle visite pour la première fois le lieu où elle va exposer, elle « prend la température » de l’espace, observe sa forme, l’articulation des salles entre elles, la circulation de la lumière et des fluides du bâtiment, mais également la manière dont celui-ci s’inscrit dans un quartier, une ville, quels usages en font les personnes qui le traversent ou l’habitent. Comment il est « travaillé », de l’intérieur et de l’extérieur.
À Sète, Katinka Bock s’est intéressée à l’omniprésence de l’eau. La mer d’un côté, l’étang de l’autre, les canaux qui structurent la ville imprègnent profondément l’imaginaire et la culture. Le nouveau film produit pour l’exposition, tourné sur les plages et les canaux de Sète, consiste en un montage de plans tournés avec sa caméra Super8, comme une série de notes visuelles. La ville est filmée depuis les canaux, et donne la sensation d’être toujours vue « du bord ». Une notion chère à l’artiste dont les sculptures matérialisent la question du seuil, de la limite, de la distance entre les objets, entre les corps et les espaces.
Elle soulève aussi la question de savoir ce qui nous relie, ce qui nous tient ensemble ou nous sépare.
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Date(s)
01 juillet 2023 - 07 janvier 2024
janvier
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Connu pour ses œuvres rapportant des récits oubliés ou négligés dans les archives matérielles de l’histoire et du temps,
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Connu pour ses œuvres rapportant des récits oubliés ou négligés dans les archives matérielles de l’histoire et du temps, Christodoulos Panayiotou traite des processus de valeur, des concepts de politique et de nation, et des autres mythologies qui nous unissent et nous divisent.
Fantasme, désir, mises en scène de la désillusion et histoires politiques multiples sont les matériaux clefs de cette exposition qui, pour la première fois, rassemblera des travaux de l’ensemble de la carrière de l’artiste. Des œuvres couvrant deux décennies de production artistique circuleront dans l’espace d’exposition pendant un an, en rotation selon le calendrier et les saisons solaires. Leur arrivée et leur départ marqueront des moments précis, créant un intrigant réseau de gestes performatifs et d’associations.
Combinant les héritages de l’art vernaculaire et de l’architecture avec des traditions de la peinture byzantine, des sculptures en verre méticuleusement ouvragées, des dispositifs de mesure du temps, des décors théâtraux et des objets chargés d’histoire, One Year [Un An] évolue comme une composition temporelle et spatiale éphémère. Le désir d’expérimenter avec l’espace d’exposition, comme paysage en constante évolution, se manifeste par des transformations radicales qui brouillent les frontières de la narration et de l’expérience. Inaugurée par un prologue en mai 2023, l’exposition se déploiera sur les saisons de l’été, de l’automne, de l’hiver et du printemps, pour se clore en un épilogue en juin 2024.
Christodoulos Panayiotou a été accueilli en résidence à LUMA Arles de septembre à novembre 2021.
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Date(s)
26 mai 2023 - 30 juin 2024
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Les sculptures de Katinka Bock, en céramique, pierre, bois ou métal entretiennent des liens profonds avec les sites dans lesquels elle expose, l’architecture du lieu qui l’accueille ou même parfois
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Les sculptures de Katinka Bock, en céramique, pierre, bois ou métal entretiennent des liens profonds avec les sites dans lesquels elle expose, l’architecture du lieu qui l’accueille ou même parfois le contexte culturel, historique ou social d’une ville.
Lorsqu’elle visite pour la première fois le lieu où elle va exposer, elle « prend la température » de l’espace, observe sa forme, l’articulation des salles entre elles, la circulation de la lumière et des fluides du bâtiment, mais également la manière dont celui-ci s’inscrit dans un quartier, une ville, quels usages en font les personnes qui le traversent ou l’habitent. Comment il est « travaillé », de l’intérieur et de l’extérieur.
À Sète, Katinka Bock s’est intéressée à l’omniprésence de l’eau. La mer d’un côté, l’étang de l’autre, les canaux qui structurent la ville imprègnent profondément l’imaginaire et la culture. Le nouveau film produit pour l’exposition, tourné sur les plages et les canaux de Sète, consiste en un montage de plans tournés avec sa caméra Super8, comme une série de notes visuelles. La ville est filmée depuis les canaux, et donne la sensation d’être toujours vue « du bord ». Une notion chère à l’artiste dont les sculptures matérialisent la question du seuil, de la limite, de la distance entre les objets, entre les corps et les espaces.
Elle soulève aussi la question de savoir ce qui nous relie, ce qui nous tient ensemble ou nous sépare.
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01 juillet 2023 - 07 janvier 2024
fevrier
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Connu pour ses œuvres rapportant des récits oubliés ou négligés dans les archives matérielles de l’histoire et du temps,
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Connu pour ses œuvres rapportant des récits oubliés ou négligés dans les archives matérielles de l’histoire et du temps, Christodoulos Panayiotou traite des processus de valeur, des concepts de politique et de nation, et des autres mythologies qui nous unissent et nous divisent.
Fantasme, désir, mises en scène de la désillusion et histoires politiques multiples sont les matériaux clefs de cette exposition qui, pour la première fois, rassemblera des travaux de l’ensemble de la carrière de l’artiste. Des œuvres couvrant deux décennies de production artistique circuleront dans l’espace d’exposition pendant un an, en rotation selon le calendrier et les saisons solaires. Leur arrivée et leur départ marqueront des moments précis, créant un intrigant réseau de gestes performatifs et d’associations.
Combinant les héritages de l’art vernaculaire et de l’architecture avec des traditions de la peinture byzantine, des sculptures en verre méticuleusement ouvragées, des dispositifs de mesure du temps, des décors théâtraux et des objets chargés d’histoire, One Year [Un An] évolue comme une composition temporelle et spatiale éphémère. Le désir d’expérimenter avec l’espace d’exposition, comme paysage en constante évolution, se manifeste par des transformations radicales qui brouillent les frontières de la narration et de l’expérience. Inaugurée par un prologue en mai 2023, l’exposition se déploiera sur les saisons de l’été, de l’automne, de l’hiver et du printemps, pour se clore en un épilogue en juin 2024.
Christodoulos Panayiotou a été accueilli en résidence à LUMA Arles de septembre à novembre 2021.
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26 mai 2023 - 30 juin 2024
mars
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Connu pour ses œuvres rapportant des récits oubliés ou négligés dans les archives matérielles de l’histoire et du temps,
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Connu pour ses œuvres rapportant des récits oubliés ou négligés dans les archives matérielles de l’histoire et du temps, Christodoulos Panayiotou traite des processus de valeur, des concepts de politique et de nation, et des autres mythologies qui nous unissent et nous divisent.
Fantasme, désir, mises en scène de la désillusion et histoires politiques multiples sont les matériaux clefs de cette exposition qui, pour la première fois, rassemblera des travaux de l’ensemble de la carrière de l’artiste. Des œuvres couvrant deux décennies de production artistique circuleront dans l’espace d’exposition pendant un an, en rotation selon le calendrier et les saisons solaires. Leur arrivée et leur départ marqueront des moments précis, créant un intrigant réseau de gestes performatifs et d’associations.
Combinant les héritages de l’art vernaculaire et de l’architecture avec des traditions de la peinture byzantine, des sculptures en verre méticuleusement ouvragées, des dispositifs de mesure du temps, des décors théâtraux et des objets chargés d’histoire, One Year [Un An] évolue comme une composition temporelle et spatiale éphémère. Le désir d’expérimenter avec l’espace d’exposition, comme paysage en constante évolution, se manifeste par des transformations radicales qui brouillent les frontières de la narration et de l’expérience. Inaugurée par un prologue en mai 2023, l’exposition se déploiera sur les saisons de l’été, de l’automne, de l’hiver et du printemps, pour se clore en un épilogue en juin 2024.
Christodoulos Panayiotou a été accueilli en résidence à LUMA Arles de septembre à novembre 2021.
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Date(s)
26 mai 2023 - 30 juin 2024
avril
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Connu pour ses œuvres rapportant des récits oubliés ou négligés dans les archives matérielles de l’histoire et du temps,
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Connu pour ses œuvres rapportant des récits oubliés ou négligés dans les archives matérielles de l’histoire et du temps, Christodoulos Panayiotou traite des processus de valeur, des concepts de politique et de nation, et des autres mythologies qui nous unissent et nous divisent.
Fantasme, désir, mises en scène de la désillusion et histoires politiques multiples sont les matériaux clefs de cette exposition qui, pour la première fois, rassemblera des travaux de l’ensemble de la carrière de l’artiste. Des œuvres couvrant deux décennies de production artistique circuleront dans l’espace d’exposition pendant un an, en rotation selon le calendrier et les saisons solaires. Leur arrivée et leur départ marqueront des moments précis, créant un intrigant réseau de gestes performatifs et d’associations.
Combinant les héritages de l’art vernaculaire et de l’architecture avec des traditions de la peinture byzantine, des sculptures en verre méticuleusement ouvragées, des dispositifs de mesure du temps, des décors théâtraux et des objets chargés d’histoire, One Year [Un An] évolue comme une composition temporelle et spatiale éphémère. Le désir d’expérimenter avec l’espace d’exposition, comme paysage en constante évolution, se manifeste par des transformations radicales qui brouillent les frontières de la narration et de l’expérience. Inaugurée par un prologue en mai 2023, l’exposition se déploiera sur les saisons de l’été, de l’automne, de l’hiver et du printemps, pour se clore en un épilogue en juin 2024.
Christodoulos Panayiotou a été accueilli en résidence à LUMA Arles de septembre à novembre 2021.
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26 mai 2023 - 30 juin 2024