Evénement: MUSIQUE

C’est l’histoire du petit Georges Brassens, né le 22 octobre 1921 à Cette (pour devenir Sète en 1928). Le récit débute par son enfance en méditerranée et se termine par sa rencontre avec Jacques Canetti en 1952, qui lui enregistrera son premier disque et lancera sa carrière. L’occasion de découvrir plusieurs moments clés de sa vie : sa jeunesse, sa montée à Paris, le service militaire obligatoire en Allemagne, la période où il se cache sous l’Occupation…

Il faut beaucoup d’audace pour créer ses propres chansons quand on évoque le Grand Georges, mais Boule n’a pas que de l’audace, il a aussi beaucoup de simplicité, d’humilité et de tendresse. Interprète au charme inimitable, Boule possède un sens du récit captivant, et le travail d’ombre qui l’accompagne nous emporte loin dans la mémoire et dans l’imaginaire.

Un spectacle qui répondra autant aux attentes des inconditionnels de Brassens qu’à tous ceux qui seront invités à le découvrir à travers un aspect moins connu que ses chansons, sa pipe et sa moustache : sa jeunesse.

Rosemary Standley – Ensemble Contraste

Dans le cadre de Montpellier Capitale Européenne de la Culture 2028, l’association CAP GÉLY FIGUEROLLES organise le samedi 8 avril 2023 la journée internationale du peuple Tsigane.
Cette journée officielle à pour but de célébrer et mettre en avant cette culture, mais aussi de rappeler toutes les discriminations que ce peuple a dû subir depuis des siècles et toujours de nos jours et de commémorer la mémoire des victimes du génocide tsigane durant la 2ème guerre mondiale.

PROGRAMME

SUR L’ESPLANADE CHARLES DE GAULE 
› (heure à préciser) – Commémoration officielle devant le monument au mort sur esplanade Charles de Gaule, en présence des responsables des associations tsiganes, des officiels et des élus.
Au cours de cette première célébration officielle à Montpellier, Miliu Calabuch et Los Graciosos interprèteront l’hymne tsigane créé en 1971 par le musicien et compositeur rom Žarko Jovanović.
Thierry Patrac nous lira un texte sur la déportation des Tsiganes, avec Joseph Stimbach, fils de déporté des camps de concentration, accompagné du violon Tzigane de Paul Guta.

À LA HALLE TROPISME
› 15H – Paul Guta Family, musique tzigane

› 16H – Projection conférence sur les gitans et la musique. Une diversité de musiques et des artistes de grand talent. Guy BERTRAND nous présente ses archives personnelles qui présentent les fanfares des Balkans, les violonistes tsiganes de Hongrie et de Roumanie, le parler vrai des polyrythmies vocales des roms loveras de Hongroie… virtuoses manouches et « duende » gitan.

› 17H30 – Spectacle de danse avec la compagnie “El sol de Espana”

› 18H30 – Le groupe montpelliérain “los Kémados” : Gipsy pop

› 21H – “Los Graciosos” et “Miliu Calabuch” grand artiste héritier de la rumba Catalane de “Péret” venu de Barcelone tout spécialement pour cet événement.

Et aussi des animations, expositions, projection conférence, spectacle de danse, gastronomie, concerts.

“Notre association est fière que notre projet ai été retenu par le jury pour défendre la candidature de Montpellier Capitale Européenne de la culture 2028, car les gitans font partie du patrimoine culturel de notre ville et de tous les pays d’Europe.”

INFOS

Entrée libre
À partir de 15H à la Halle Tropisme

Soirée événement avec l’Orchestre Les Siècles ! De Shéhérazade à Petrouchka, François-Xavier Roth fait retentir toutes les couleurs d’un programme culte, créé en 1911 par les Ballets Russes.

Les Siècles proposent une re-création, sur instruments français du début du XXe siècle, de la soirée du 13 juin 1911 au cours de laquelle la compagnie des Ballets Russes de Serge de Diaghilev présente au public le nouveau ballet d’un Igor Stravinski en pleine ascension. Nouveau succès populaire, le ballet ne remporte pourtant pas l’adhésion de la critique, déstabilisée par cette œuvre novatrice.
Inspiré par la figure d’un pantin diabolique, Stravinski écrit initialement un concerto pour piano, qu’il transforme en ballet, Petrouchka, sous l’influence de Diaghilev. Les musiciens interprèteront de même Shéhérazade de Rimski-Korsakov, œuvre également jouée par la compagnie des Ballets Russes ce 13 juin 1911. Créée en 1888, elle est chorégraphiée par Michel Fokine deux ans après la mort du maître
de Stravinski.

DURÉE 1H30 ENVIRON

TARIF I | 32€ – 30€ – 16€ – 11€

Soirée événement avec l’Orchestre Les Siècles ! De Shéhérazade à Petrouchka, François-Xavier Roth fait retentir toutes les couleurs d’un programme culte, créé en 1911 par les Ballets Russes.

Les Siècles proposent une re-création, sur instruments français du début du XXe siècle, de la soirée du 13 juin 1911 au cours de laquelle la compagnie des Ballets Russes de Serge de Diaghilev présente au public le nouveau ballet d’un Igor Stravinski en pleine ascension. Nouveau succès populaire, le ballet ne remporte pourtant pas l’adhésion de la critique, déstabilisée par cette œuvre novatrice.
Inspiré par la figure d’un pantin diabolique, Stravinski écrit initialement un concerto pour piano, qu’il transforme en ballet, Petrouchka, sous l’influence de Diaghilev. Les musiciens interprèteront de même Shéhérazade de Rimski-Korsakov, œuvre également jouée par la compagnie des Ballets Russes ce 13 juin 1911. Créée en 1888, elle est chorégraphiée par Michel Fokine deux ans après la mort du maître
de Stravinski.

DURÉE 1H30 ENVIRON

TARIF I | 32€ – 30€ – 16€ – 11€

Tragédie lyrique en quatre actes sur un livret de Nicolas-François Guillard, représentée pour la première fois à l’Académie royale de musique de Paris le 18 mai 1779. 

Dernier triomphe parisien de Gluck en 1778 sur un livret inspiré de la tragédie d’Euripide, Iphigénie en Tauride porte à la scène lyrique le destin de la fille d’Agamemnon et Clytemnestre, riche en conflits dramatiques montrant l’impact de la guerre dans la destruction des familles et le brouillage des repères comme des frontières. Auteur de la mise en scène de Tosca la saison dernière, Rafael R. Villalobos rend incandescents l’universalité et le tragique d’une histoire maintes fois répétée au cours des siècles. De la manière la plus poétique et la plus esthétique qui soit, l’artiste file la métaphore du théâtre, porteur des valeurs démocratiques, pour en déduire la nécessité de le protéger. Une mise en scène humaniste doublée d’une lecture universelle du conflit en Ukraine, magnifiée par une musique toujours essentielle. 

Coproduction Opéra Orchestre national Montpellier Occitanie, Opera Ballet Vlaanderen et Maestranza de Séville

Durée : ± 2h20 avec entracte
Tarifs : de 10€ à 50€