Les sorties cinéma du 12 octobre

Les sorties cinéma du 12 octobre

Au sommaire de notre sélection des sorties cinéma de cette semaine, une comédie de Louis Garrel au casting 3 étoiles met en scène un fils dépassé par le comportement de sa mère mariée à un homme incarcéré, un film d’animation primé au Festival du Film d’animation d’Annecy fait le récit de la naissance du Petit Nicolas dans l’atelier de Jean-Jacques Sempé et René Goscinny quelque part entre Montmartre et Saint-Germain-des-Prés et un drame ukrainien teinté de surréalisme révèle le traumatisme d’une ancienne captive dans le Donbass.

L’innocent

Un film de Louis Garrel, avec Roschdy Zem, Louis Garrel, Anouk Grinberg, Noémie Merlant.

Quand Abel apprend que sa mère Sylvie, la soixantaine, est sur le point de se marier avec un homme en prison, il panique.Épaulé par Clémence, sa meilleure amie, il va tout faire pour essayer de la protéger. Mais la rencontre avec Michel, son nouveau beau-père, pourrait bien offrir à Abel de nouvelles perspectives…

 

Le Petit Nicolas – Qu’est-ce qu’on attend pour être heureux ?

Un film de Amandine Fredon et Benjamin Massoubre, avec les voix de Alain Chabat, Laurent Lafitte, Simon Faliu.

Penchés sur une large feuille blanche quelque part entre Montmartre et Saint-Germain-des-Prés, Jean-Jacques Sempé et René Goscinny donnent vie à un petit garçon rieur et malicieux, le Petit Nicolas. Entre camaraderie, disputes, bagarres, jeux, bêtises, et punitions à la pelle, Nicolas vit une enfance faite de joies et d’apprentissages. Au fil du récit, le garçon se glisse dans l’atelier de ses créateurs, et les interpelle avec drôlerie. Sempé et Goscinny lui raconteront leur rencontre, leur amitié, mais aussi leurs parcours, leurs secrets et leur enfance.

 

Butterfly Vision

Un film de Maksym Nakonechnyi, avec Rita Burkovska, Lyubomyr Valivots, Myroslava Vytrykhoska-Makar.

Lilia, une spécialiste en reconnaissance aérienne, retourne auprès de sa famille en Ukraine après plusieurs mois passés en prison dans le Donbass. Le traumatisme de la captivité la tourmente et refait surface sous forme de visions. Quelque chose de profondément ancré en elle l’empêche d’oublier, mais elle refuse de se voir comme une victime et se bat pour se libérer.