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Jusqu’aux impressionnistes, la peinture était – et demeure dans une certaine mesure – une activité où l’on replie le
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Jusqu’aux impressionnistes, la peinture était – et demeure dans une certaine mesure – une activité où l’on replie le monde et son imaginaire sur le plan immobile de la toile.
Seule la main navigue à la surface. Quand les peintres de la lumière ont quitté leur studio pour parcourir les villes et battre la campagne, ils ont inventé sans le savoir ce que le cinéma et la photographie naissants deviendraient. Avec la miniaturisation des appareils dans les années 1920, la photographie emprunte aux impressionnistes ce tropisme pour l’ailleurs, l’en-dehors.
La photographie de Diane Arbus est le résultat de cette recherche inlassable, la somme de ces longues heures de marche, autant dictées par les équations du hasard que par le flair indicible de l’instinct. Autant le résultat de son travail paraît précis, cadré et cohérent, autant son hors-champ est chaotique, organique et dispersé aux quatre coins de la ville. Ce hors-champ est un entrelacs de chemins qui se croisent et qui dessinent, à l’instar d’une toile d’araignée, des centaines de points sur la carte, reliés les uns aux autres par un désir unique de révélation poétique. C’est précisément cette cartographie à travers le temps et l’espace qui nous intéresse ici.
Comment présenter en simultané les images et le hors-champ inhérent à chacune d’entre elles ? Il n’y a pas seulement le déplacement physique de l’artiste qui importe, mais aussi le mouvement de son regard, glissant çà et là sur la réalité. Un visage, un détail, une attitude, une singularité : c’est ce sur quoi les yeux de Diane Arbus ont su s’arrêter, pour entrevoir toutes les potentialités photographiques de ses sujets.
Après la mort de Diane Arbus en 1971, Neil Selkirk – l’un de ses étudiants et conseiller sur des sujets techniques – a réalisé des tirages pour l’« Arbus Estate », qui administre la succession de l’artiste. Il est la seule personne, depuis la mort de l’artiste, autorisée à tirer ses négatifs. Pendant plus de trente ans, il a constitué un ensemble de tirages uniques de ces photographies, dont la Fondation LUMA a fait l’acquisition en 2011. Cette somme est en soi un monument de l’histoire de la photographie.
L’exposition Constellation réunit la totalité des 454 épreuves d’imprimerie (dont certaines encore inédites) du « Selkirk Prints set », sous la forme d’une installation immersive. Nous avons ici voulu montrer la dimension extra-photographique de ces images : révéler ce qu’il y a entre les clichés, ce qui, comme la matière noire, maintient toutes ces photographies en équilibre et connectées les unes aux autres : la toile d’araignée. Cette idée de constellation nous est apparue comme une structure capable à la fois de dévoiler les images et l’architecture imperceptible sous-jacente à toutes créations : le hasard, le chaos et la quête. Il n’y a donc pas de sens de visite ou de mode d’emploi avec Constellation. Comme Diane Arbus à New York, le public est invité à déambuler, passer à côté, autour et à travers. Il n’y a pas un parcours type mais une infinité de possibilités. Chacun·e pourra créer sa propre expérience dans cet accrochage aléatoire et initiatique.
Cette exposition est présentée en partenariat avec Les Rencontres d’Arles.
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Date(s)
26 mai 2023 - 24 septembre 2023
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Connu pour ses œuvres rapportant des récits oubliés ou négligés dans les archives matérielles de l’histoire et du temps,
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Connu pour ses œuvres rapportant des récits oubliés ou négligés dans les archives matérielles de l’histoire et du temps, Christodoulos Panayiotou traite des processus de valeur, des concepts de politique et de nation, et des autres mythologies qui nous unissent et nous divisent.
Fantasme, désir, mises en scène de la désillusion et histoires politiques multiples sont les matériaux clefs de cette exposition qui, pour la première fois, rassemblera des travaux de l’ensemble de la carrière de l’artiste. Des œuvres couvrant deux décennies de production artistique circuleront dans l’espace d’exposition pendant un an, en rotation selon le calendrier et les saisons solaires. Leur arrivée et leur départ marqueront des moments précis, créant un intrigant réseau de gestes performatifs et d’associations.
Combinant les héritages de l’art vernaculaire et de l’architecture avec des traditions de la peinture byzantine, des sculptures en verre méticuleusement ouvragées, des dispositifs de mesure du temps, des décors théâtraux et des objets chargés d’histoire, One Year [Un An] évolue comme une composition temporelle et spatiale éphémère. Le désir d’expérimenter avec l’espace d’exposition, comme paysage en constante évolution, se manifeste par des transformations radicales qui brouillent les frontières de la narration et de l’expérience. Inaugurée par un prologue en mai 2023, l’exposition se déploiera sur les saisons de l’été, de l’automne, de l’hiver et du printemps, pour se clore en un épilogue en juin 2024.
Christodoulos Panayiotou a été accueilli en résidence à LUMA Arles de septembre à novembre 2021.
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Date(s)
26 mai 2023 - 30 juin 2024
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À La Mécanique Générale À partir du 26 mai 2023 Carrie Mae Weems, dont la carrière s’étend sur plus de
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À La Mécanique Générale
À partir du
Carrie Mae Weems, dont la carrière s’étend sur plus de trente-cinq ans, interroge les relations familiales, les identités raciales et culturelles, le sexisme, les classes sociales, les systèmes politiques, ainsi que les incidences et les disparités des rapports de pouvoir.
Déterminée plus que jamais à entrer dans la composition — au sens propre comme au sens figuré —, Weems entretient un dialogue ininterrompu au sein du discours contemporain, examinant ce qu’elle appelle, par un clin d’œil au poète et chercheur noir américain Amiri Baraka, « the changing same » [le même changeant].
Au cours de sa carrière artistique, Carrie Mae Weems a développé un corpus artistique complexe, qui combine photographies, textes, tissus, sons, images numériques, installations et vidéos. Son travail oscille entre l’interprétation d’images trouvées et la création de nouvelles photographies et films. Dans ses recherches actuelles, elle cherche à comprendre, à extraire de l’image, les conditions de l’existence. Son travail provoque un dilemme entre la personne qui regarde et le sujet, ce qui donne généralement lieu à une sensation d’inconfort et de trouble. The Shape of Things [La Forme des Choses] réunit des thèmes et des méthodes récurrents dans l’ensemble de l’œuvre de l’artiste.
Faisant appel à des techniques cinématographiques et à des effets spéciaux empruntés à des périodes antérieures, comme les dioramas, les attractions de foire et le fantôme de Pepper, The Shape of Things est une réflexion incisive, puissante, affective et critique sur des sujets à la fois profondément enracinés dans la culture et l’histoire américaines, et les événements explosifs de notre époque actuelle. Cet ensemble d’installations monumentales s’inscrit dans la continuité de l’engagement de LUMA Arles à produire des expositions complexes avec les artistes les plus remarquables de notre époque. Initiée par le Park Avenue Armory à New York en 2021, The Shape of Things revêt une forme renouvelée et enrichie pour LUMA Arles. Bien que la plupart des œuvres soient situées dans le contexte des États-Unis, elles permettent aisément d’établir des comparaisons avec les réalités politiques et sociales, et les bouleversements observés en Europe et dans d’autres régions du monde. Weems semble affirmer avec force la nécessité d’affronter les réalités de notre passé pour relever les défis contemporains.
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Date(s)
26 mai 2023 - 24 septembre 2023
octobre
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Connu pour ses œuvres rapportant des récits oubliés ou négligés dans les archives matérielles de l’histoire et du temps,
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Connu pour ses œuvres rapportant des récits oubliés ou négligés dans les archives matérielles de l’histoire et du temps, Christodoulos Panayiotou traite des processus de valeur, des concepts de politique et de nation, et des autres mythologies qui nous unissent et nous divisent.
Fantasme, désir, mises en scène de la désillusion et histoires politiques multiples sont les matériaux clefs de cette exposition qui, pour la première fois, rassemblera des travaux de l’ensemble de la carrière de l’artiste. Des œuvres couvrant deux décennies de production artistique circuleront dans l’espace d’exposition pendant un an, en rotation selon le calendrier et les saisons solaires. Leur arrivée et leur départ marqueront des moments précis, créant un intrigant réseau de gestes performatifs et d’associations.
Combinant les héritages de l’art vernaculaire et de l’architecture avec des traditions de la peinture byzantine, des sculptures en verre méticuleusement ouvragées, des dispositifs de mesure du temps, des décors théâtraux et des objets chargés d’histoire, One Year [Un An] évolue comme une composition temporelle et spatiale éphémère. Le désir d’expérimenter avec l’espace d’exposition, comme paysage en constante évolution, se manifeste par des transformations radicales qui brouillent les frontières de la narration et de l’expérience. Inaugurée par un prologue en mai 2023, l’exposition se déploiera sur les saisons de l’été, de l’automne, de l’hiver et du printemps, pour se clore en un épilogue en juin 2024.
Christodoulos Panayiotou a été accueilli en résidence à LUMA Arles de septembre à novembre 2021.
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Date(s)
26 mai 2023 - 30 juin 2024
novembre
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Connu pour ses œuvres rapportant des récits oubliés ou négligés dans les archives matérielles de l’histoire et du temps,
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Connu pour ses œuvres rapportant des récits oubliés ou négligés dans les archives matérielles de l’histoire et du temps, Christodoulos Panayiotou traite des processus de valeur, des concepts de politique et de nation, et des autres mythologies qui nous unissent et nous divisent.
Fantasme, désir, mises en scène de la désillusion et histoires politiques multiples sont les matériaux clefs de cette exposition qui, pour la première fois, rassemblera des travaux de l’ensemble de la carrière de l’artiste. Des œuvres couvrant deux décennies de production artistique circuleront dans l’espace d’exposition pendant un an, en rotation selon le calendrier et les saisons solaires. Leur arrivée et leur départ marqueront des moments précis, créant un intrigant réseau de gestes performatifs et d’associations.
Combinant les héritages de l’art vernaculaire et de l’architecture avec des traditions de la peinture byzantine, des sculptures en verre méticuleusement ouvragées, des dispositifs de mesure du temps, des décors théâtraux et des objets chargés d’histoire, One Year [Un An] évolue comme une composition temporelle et spatiale éphémère. Le désir d’expérimenter avec l’espace d’exposition, comme paysage en constante évolution, se manifeste par des transformations radicales qui brouillent les frontières de la narration et de l’expérience. Inaugurée par un prologue en mai 2023, l’exposition se déploiera sur les saisons de l’été, de l’automne, de l’hiver et du printemps, pour se clore en un épilogue en juin 2024.
Christodoulos Panayiotou a été accueilli en résidence à LUMA Arles de septembre à novembre 2021.
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Date(s)
26 mai 2023 - 30 juin 2024
décembre
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Connu pour ses œuvres rapportant des récits oubliés ou négligés dans les archives matérielles de l’histoire et du temps,
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Connu pour ses œuvres rapportant des récits oubliés ou négligés dans les archives matérielles de l’histoire et du temps, Christodoulos Panayiotou traite des processus de valeur, des concepts de politique et de nation, et des autres mythologies qui nous unissent et nous divisent.
Fantasme, désir, mises en scène de la désillusion et histoires politiques multiples sont les matériaux clefs de cette exposition qui, pour la première fois, rassemblera des travaux de l’ensemble de la carrière de l’artiste. Des œuvres couvrant deux décennies de production artistique circuleront dans l’espace d’exposition pendant un an, en rotation selon le calendrier et les saisons solaires. Leur arrivée et leur départ marqueront des moments précis, créant un intrigant réseau de gestes performatifs et d’associations.
Combinant les héritages de l’art vernaculaire et de l’architecture avec des traditions de la peinture byzantine, des sculptures en verre méticuleusement ouvragées, des dispositifs de mesure du temps, des décors théâtraux et des objets chargés d’histoire, One Year [Un An] évolue comme une composition temporelle et spatiale éphémère. Le désir d’expérimenter avec l’espace d’exposition, comme paysage en constante évolution, se manifeste par des transformations radicales qui brouillent les frontières de la narration et de l’expérience. Inaugurée par un prologue en mai 2023, l’exposition se déploiera sur les saisons de l’été, de l’automne, de l’hiver et du printemps, pour se clore en un épilogue en juin 2024.
Christodoulos Panayiotou a été accueilli en résidence à LUMA Arles de septembre à novembre 2021.
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Date(s)
26 mai 2023 - 30 juin 2024
janvier
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Connu pour ses œuvres rapportant des récits oubliés ou négligés dans les archives matérielles de l’histoire et du temps,
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Connu pour ses œuvres rapportant des récits oubliés ou négligés dans les archives matérielles de l’histoire et du temps, Christodoulos Panayiotou traite des processus de valeur, des concepts de politique et de nation, et des autres mythologies qui nous unissent et nous divisent.
Fantasme, désir, mises en scène de la désillusion et histoires politiques multiples sont les matériaux clefs de cette exposition qui, pour la première fois, rassemblera des travaux de l’ensemble de la carrière de l’artiste. Des œuvres couvrant deux décennies de production artistique circuleront dans l’espace d’exposition pendant un an, en rotation selon le calendrier et les saisons solaires. Leur arrivée et leur départ marqueront des moments précis, créant un intrigant réseau de gestes performatifs et d’associations.
Combinant les héritages de l’art vernaculaire et de l’architecture avec des traditions de la peinture byzantine, des sculptures en verre méticuleusement ouvragées, des dispositifs de mesure du temps, des décors théâtraux et des objets chargés d’histoire, One Year [Un An] évolue comme une composition temporelle et spatiale éphémère. Le désir d’expérimenter avec l’espace d’exposition, comme paysage en constante évolution, se manifeste par des transformations radicales qui brouillent les frontières de la narration et de l’expérience. Inaugurée par un prologue en mai 2023, l’exposition se déploiera sur les saisons de l’été, de l’automne, de l’hiver et du printemps, pour se clore en un épilogue en juin 2024.
Christodoulos Panayiotou a été accueilli en résidence à LUMA Arles de septembre à novembre 2021.
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Date(s)
26 mai 2023 - 30 juin 2024