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Août #23
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30 ANS DE CARRE D’ART Anniversaire le 9 mai à 18h La Ville porte une ambition forte en matière d’offre culturelle. Riche d’une diversité d’établissements, représentant les champs variés de
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30 ANS DE CARRE D’ART
Anniversaire le 9 mai à 18h
La Ville porte une ambition forte en matière d’offre culturelle. Riche d’une diversité d’établissements, représentant les champs variés de la culture, des savoirs et des traditions, Nîmes célèbre en 2023 les 30 ans de Carré d’Art, inauguré le 9 mai 1993. Bâtiment au geste architectural fort imaginé par l’architecte anglais Lord Norman Foster, il trône en cœur de ville, sur l’ancienne place du Forum romain, en résonance avec la Maison Carrée.
Au sein de ce site exceptionnel, Carré d’Art – Musée d’art contemporain a pour mission de collectionner, conserver, présenter la création contemporaine et la rendre accessible au public le plus large possible à travers des expositions, publications et des projets pédagogiques.
DES EXPOSITIONS DANS TOUTE LA VILLE
C’est ainsi que la programmation culturelle des expositions 2023 sera principalement consacrée à cet anniversaire. Ce sera l’occasion de mettre en valeur la richesse de la collection de Carré d’Art – Musée d’art contemporain, dont les premières acquisitions datent de 1986 dans un partenariat du Ministère de la Culture et de la Ville de Nîmes. Il faut rappeler que les collections publiques sont inaliénables.
La collection de Carré d’Art – Musée d’art contemporain s’est considérablement enrichie par les dons des artistes, collectionneurs et galeries depuis la création du musée. Aujourd’hui elle figure comme l’une des collections d’art contemporain les plus importantes à un niveau national et international.
Pour célébrer ce 30e anniversaire, l’art contemporain sera également présent dans toute la ville, de mars à décembre, au Musée du Vieux Nîmes, au Muséum d’histoire naturelle, au Musée des Beaux-Arts, au Musée des Cultures Taurines. Au Musée de la Romanité sera présentée, à partir du 21 avril, une exposition personnelle d’Oliver Laric qui a travaillé sur les collections archéologiques.
« Nîmes est une cité au patrimoine historique exceptionnel, assise sur 2 000 ans d’histoire. Mais elle est aussi une ville résolument moderne, vivant avec son temps. Carré d’Art, imaginé il y a 30 ans par Lord Norman Foster, résume à merveille cette double identité. Cet anniversaire est l’occasion de redécouvrir la richesse des expositions du musée d’art contemporain, dont la renommée internationale n’est plus à prouver », se félicite Jean-Paul Fournier, Maire de Nîmes.
« Sous la houlette de Jean-Marc Prévost, directeur de Carré d’art – Musée d’art contemporain qui a coordonné les opérations, tous les musées de la Ville offriront à leurs visiteurs un espace dédié à l’art contemporain issu des collections de Carré d’art pour célébrer cet anniversaire », explique Sophie Roulle, Adjointe déléguée à la culture.
UN REGARD PARTICULIER SUR L’ART CONTEMPORAIN
Les musées ont particulièrement aujourd’hui un rôle à jouer pour comprendre le passé, penser le monde de demain, développer un espace critique loin de la spectacularisation et l’instrumentalisation de l’art.
Porter un regard sur les œuvres d’une collection, c’est les penser dans leur contexte historique, qu’il soit esthétique ou politique et en lien avec le présent et le futur. La collection est présentée d’un point de vue, à un moment précis dans lequel la globalisation, les réseaux et de nouveaux enjeux écologiques ou sociétaux ont profondément renouvelé notre rapport au monde.
L’exposition de toute collection de musée sera toujours un processus d’apprentissage, ainsi qu’une démarche amenant à des questionnements. En choisissant de raconter une histoire, beaucoup d’autres sont abandonnées.
Bien que Carré d’Art n’ait pas comme mission une vision universaliste, l’accrochage montre que, dans les dernières décennies, l’Europe et les Etats-Unis ne sont plus les seuls continents. D’autres parties du monde comme le Moyen-Orient ou l’Asie ont leur place pour montrer la complexité du monde dans lequel nous vivons. Une réinterprétation de l’histoire a aussi permis ces dernières années de repenser la place des femmes et des minorités qui sont visibles dans la collection et la programmation.
LA CREATION D’UN RENDEZ-VOUS INTERNATIONAL DES 2024
« Les 30 ans de Carré d’Art marquent ainsi le lancement d’une nouvelle histoire où l’art contemporain va occuper une place prépondérante. Ainsi, dès 2024, Jean-Paul Fournier, Maire de Nîmes, et moi-même avons souhaité la création d’une grande manifestation, d’ampleur internationale, dédiée à l’art contemporain, ancrée sur le territoire local et associant la population nîmoise et des artistes locaux. Un nouveau rendez-vous fort, pour lequel nous venons de choisir la direction artistique, qui permettra de développer une autre forme de culture tournée vers l’avenir et d’accroître l’attractivité de notre ville », conclut Sophie Roulle, Adjointe déléguée à la culture.
Programme complet
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17 janvier 2023 - 31 décembre 2023
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Après l’exposition “Fait Maison ‘’ en 2000, le MIAM présente aujourd’hui “Fait Machine”, une exposition consacrée aux formes du digital et à la transformation du code en matière, ou
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Après l’exposition “Fait Maison ‘’ en 2000, le MIAM présente aujourd’hui “Fait Machine”, une exposition consacrée aux formes du digital et à la transformation du code en matière, ou comment les artistes se sont emparés des outils numériques, ont détourné procédés et machines pour créer leurs œuvres.
Poursuivant la réflexion engagée par Miguel Chevalier et Michel Paysant, artistes transdisciplinaires développant un travail convoquant art, technologie et sciences, les commissaires de l’exposition, Margherita Balzerani et Noëlig Le Roux, ont rassemblé les créations d’une génération d’artistes donnant au code une forme matérielle et tangible.
L’exposition Fait Machine témoigne de la diversité des recherches engagées par ces créateurs recourant aux technologies de l’impression 3D en particulier. Générant à partir du code une multiplicité de formes, ces artistes recourent aussi à une variété de matériaux n’hésitant pas à les mêler les uns aux autres (céramique, porcelaine, polymères naturels, matières plastiques, matériaux composites …).
L’exposition rend aussi compte du tournant technologique qui s’est opéré ces vingt dernières années avec l’invention d’outils et de processus de fabrication ouverts au plus grand nombre. L’essor du prototypage numérique, la réduction du coût des machines (imprimantes 3D, découpeuses laser, fraiseuses numériques…) et leur mutualisation, ainsi que la mise en commun des savoir-faire, ont de surcroît permis un développement sans précédent de nouvelles formes. Cette popularisation et ses effets sur les mécanismes de production et sur la création elle-même, soutenue par le développement des ateliers collectifs et partagés promus par les FabLabs et les Makers, est l’un des axes exploré par l’exposition.
« Fait machine », se décompose en deux volets qui occupent chacun l’un des deux niveaux de l’espace d’exposition du MIAM : « Le laboratoire » au rez-de-chaussée et « Le fil du code » au premier étage.
Les artistes de l’exposition (liste non définitive)
Faig Ahmed, Appropriate Audiences, Berdaguer et Péjus, Arnaud Borde, Elvire Blanc Briand, Yisha Cai, Miguel Chevalier, Mathilde Dumont, Olivier Van Herpt, Raphaëlle Kerbrat, Laureline Galliot, Jonathan Keep, Inès Lavialle, Jessica Lajard, Ludovic Mallegol, Varvara & Mar, Pit Molling, Michel Paysant, Boryana Petkova, Noémie Pilo, Camille Reidt, Andrea Rodriguez-Vial, Philipp Schaerer et Reto Steiner, Antoine Schmitt, Inès Silberman, Jeanne Vicerial
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17 fevrier 2023 - 12 novembre 2023
Lieux
MIAM
23 Quai Maréchal de Lattre de Tassigny, 34200 Sète
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Martial Raysse est représenté dans la collection par un important ensemble d’œuvres, 7 au total, allant de 1962 à 1990. Il est aussi présent dans la ville de Nîmes,
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Martial Raysse est représenté dans la collection par un important ensemble d’œuvres, 7 au total, allant de 1962 à 1990.
Il est aussi présent dans la ville de Nîmes, avec des œuvres monumentales qui relèvent de l’aménagement urbain, par deux commandes publiques place d’Assas et place du marché. Plusieurs œuvres sont réalisées à partir de néons, évocations de la vie moderne et présents dans le monde entier. C’est aussi l’idée de la couleur en mouvement. Proposition II, illustration I, “Monik I” se compose d’une forme suivant les contours d’un visage, réalisée avec plusieurs couches superposées de cartons comme un panneau de publicité, et d’un carré dessiné par un néon vert. L’extrême économie des moyens mis en œuvre (l’emploi de carton, néon) tend à simplifier l’image du visage féminin élaborée des années précédentes. Les détails du visage s’effacent au profit d’un simple contour, tandis que le néon, qui dessine un carré vide, symbolise le cadre à tout jamais séparé de sa figure et seul support de la couleur.
La Source de 1989 marque le retour à de grandes compositions picturales revenant à une iconographie classique.
Martial Raysse est né en 1936 à Golfe-Juan. Il vit et travaille à Issigeac.
Commissaires : Pascal Trarieux et Jean-Marc Prevost
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25 mars 2023 - 03 décembre 2023
Lieux
Musée des Beaux-Arts de Nîmes
Rue de la Cité Foulc, 30000 Nîmes
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Pour la première fois depuis son inauguration en juin 2018, le Musée de la Romanité explore le lien entre l’Antiquité et le monde actuel, pour mettre en valeur ses collections
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Pour la première fois depuis son inauguration en juin 2018, le Musée de la Romanité explore le lien entre l’Antiquité et le monde actuel, pour mettre en valeur ses collections archéologiques et s’inscrire dans une démarche artistique contemporaine liée au digital. En collaboration avec Carré d’art, musée d’art contemporain de la ville de Nîmes, qui fête ses 30 ans cette année, le Musée de la Romanité présentera le travail d’Oliver Laric d’avril à décembre 2023. Ce sculpteur autrichien s’inspire de la statuaire gréco-romaine antique pour en proposer des ré-interprétations, notamment grâce aux technologies digitales.
À l’occasion de cette exposition, Oliver Laric proposera une quinzaine de sculptures originales et plusieurs autres productions numériques, inspirées d’œuvres des collections permanentes du Musée de la Romanité et plus généralement de l’héritage antique de Nîmes. Oliver Laric est né à Innsbruck (Autriche) en 1981. Diplômé en
2007 de l’Université des Arts appliqués de Vienne, il s’illustre dans le courant artistique dit « post-internet » dès 2006.
À partir de la fin des années 2010, il développe une production artistique matérielle mais toujours ancrée dans l’art digital qui interroge le caractère d’unicité de l’œuvre d’art.
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21 avril 2023 - 31 décembre 2023
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Pour fêter les 30 ans de Carré d’art , le musée des Cultures taurines a choisi de présenter les œuvres originales ayant servi à la réalisation des
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Pour fêter les 30 ans de Carré d’art , le musée des Cultures taurines a choisi de présenter les œuvres originales ayant servi à la réalisation des affiches de la Feria de Nîmes. Depuis 1984, la Ville de Nîmes commande à un artiste contemporain de renom l’affiche qui signe cet évènement majeur de la vie de la cité. La présentation des œuvres originales de ces affiches permet d’évoquer le rapport entre tradition locale, tauromachie et art contemporain et les codes de leur représentation, tant dans ses thèmes que ses évolutions artistiques au cours de ces quarante dernières années.
Commissaires : Lisa Laborie-Barrière et Jean-Marc Prevost
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13 mai 2023 - 31 octobre 2023
Lieux
Musée des cultures taurines
6 Rue Alexandre Ducros, 30000 Nîmes
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Connu pour ses œuvres rapportant des récits oubliés ou négligés dans les archives matérielles de l’histoire et du temps,
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Connu pour ses œuvres rapportant des récits oubliés ou négligés dans les archives matérielles de l’histoire et du temps, Christodoulos Panayiotou traite des processus de valeur, des concepts de politique et de nation, et des autres mythologies qui nous unissent et nous divisent.
Fantasme, désir, mises en scène de la désillusion et histoires politiques multiples sont les matériaux clefs de cette exposition qui, pour la première fois, rassemblera des travaux de l’ensemble de la carrière de l’artiste. Des œuvres couvrant deux décennies de production artistique circuleront dans l’espace d’exposition pendant un an, en rotation selon le calendrier et les saisons solaires. Leur arrivée et leur départ marqueront des moments précis, créant un intrigant réseau de gestes performatifs et d’associations.
Combinant les héritages de l’art vernaculaire et de l’architecture avec des traditions de la peinture byzantine, des sculptures en verre méticuleusement ouvragées, des dispositifs de mesure du temps, des décors théâtraux et des objets chargés d’histoire, One Year [Un An] évolue comme une composition temporelle et spatiale éphémère. Le désir d’expérimenter avec l’espace d’exposition, comme paysage en constante évolution, se manifeste par des transformations radicales qui brouillent les frontières de la narration et de l’expérience. Inaugurée par un prologue en mai 2023, l’exposition se déploiera sur les saisons de l’été, de l’automne, de l’hiver et du printemps, pour se clore en un épilogue en juin 2024.
Christodoulos Panayiotou a été accueilli en résidence à LUMA Arles de septembre à novembre 2021.
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26 mai 2023 - 30 juin 2024
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Le musée expose, en partenariat avec la Fundación Photographic Social Vision, le travail peu connu en France de Jacques Léonard, avec une sélection de plus de 150 photographies. Ses images, d’une
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Le musée expose, en partenariat avec la Fundación Photographic Social Vision, le travail peu connu en France de Jacques Léonard, avec une sélection de plus de 150 photographies.
Ses images, d’une veine très humaniste, rendent compte de la vie citadine : rues, marchés, fêtes, parcs d’attractions, sport, foires, port et front de mer marqué par le développement du tourisme…
Son mariage avec Rosario Amaya, gitane du quartier de Montjuïc, lui ouvre les portes de sa communauté. Portant sur elle le regard d’un membre de la famille, ses images constituent l’une des collections les plus importantes sur la culture gitane.
L’exposition mettra aussi en lumière deux séries exceptionnelles : Évadés, de 1943, reportage sur le passage par l’Espagne de Français fuyant le fascisme pour embarquer vers l’Afrique; La División Azul, de 1954, qui témoigne du retour en Espagne, des survivants de la División Azul, 45 000 hommes envoyés par Franco en soutien à l’armée nazie dans l’invasion de la Russie.
Jacques Léonard (né en 1909 à Maisons-Laffitte – mort en 1994 à l’Escala (Espagne)) a d’abord travaillé dans le cinéma, notamment auprès d’Abel Gance. C’est au cours d’un voyage de repérage, qu’il découvre l’Espagne, où il s’installe définitivement en 1952. Il y devient photographe professionnel, collaborant à différents organes de presse et monte son propre laboratoire, dédié à la photographie publicitaire. Il multiplie reportages et travaux jusqu’en 1975, année où il abandonne la photographie pour des raisons de santé.
Cette exposition fait partie de la séquence « Arles Associé » des Rencontres d’Arles
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Date(s)
27 mai 2023 - 01 octobre 2023
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« C’est là l’histoire d’une artiste-femme prise dans une lignée de femmes qui a cherché un protocole singulier pour se relier au monde, afin de le rendre supportable, c’est-à-dire vivable
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« C’est là l’histoire d’une artiste-femme prise dans une lignée de femmes qui a cherché un protocole singulier pour se relier au monde, afin de le rendre supportable, c’est-à-dire vivable par l’art. On trouverait bien des correspondances et des sororités d’esprit à New York et ailleurs : il y a chez Fiorenza Menini du Chantal Akerman, du Francesca Woodman, du Cindy Sherman, du Lucy Gunning, du Trisha Brown… des désirs de détournement d’espaces, de contournements, de solitudes d’angle, de marches au plafond, des peaux fardées et des rides nues, et une gravité acerbe devant le risible dérisoire de nos existences. »
Frédérique Villemur, historienne d’art
L’artiste Fiorenza Menini propose une palette teintée de féminisme entre photographies, vidéos, textes et dessins. Une œuvre où le regard de l’artiste, toujours empreint de l’expérience de la performance, reste sur une brèche poétique. Cette exposition-événement offre un corpus restauré jamais montré de la période dite « new-yorkaise » de l’artiste née à Montpellier, dont le travail est représenté dans la collection du Frac depuis 2001. Conçue sous la forme d’une double exposition au Frac et au KIASMA, elle est le fruit d’un partenariat renouvelé avec la Ville de Castelnau-le-Lez, après une première exposition en 2022 autour de l’œuvre de Gabriele di Matteo.
« Walk Man Walk like a Woman retrace le parcours d’une jeune femme artiste qui s’invente, crée son langage, ses outils et ses formes dans le New York des années 1990 et du début des années 2000. […] Au-delà de l’esthétique, cette œuvre témoigne de l’engagement permanent de l’artiste qu’elle est déjà, de son exploration des limites, révélant dans l’intimité de l’être des états de corps singuliers. […] Aujourd’hui, les récits de cette jeune artiste résonnent d’autant plus que les enjeux propres aux femmes, au féminin, au féminisme et au genre sont déjà en travail et en questionne[1]ment dans son langage. […] L’ambition de cette double exposition est de montrer le caractère inédit qui se joue dans la nature performative de ces images et dans la complexité d’un récit multiple. »
Extrait du texte de Céline Mélissent, commissaire de l’exposition
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02 juin 2023 - 21 octobre 2023
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FRAC Occitanie
4-6 Rue Rambaud, 34000 Montpellier
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L’exposition « Action, Geste, Peinture – Femmes dans l’abstraction, une histoire mondiale, 1940-1970 » réunit 85 artistes du monde entier. Elle a pour vocation d’élargir la perception commune de
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L’exposition « Action, Geste, Peinture – Femmes dans l’abstraction, une histoire mondiale, 1940-1970 » réunit 85 artistes du monde entier. Elle a pour vocation d’élargir la perception commune de l’expressionnisme abstrait, courant centré sur la liberté d’expression et le geste et réputé être majoritairement américain et masculin. En présentant plus de 130 œuvres créées par des artistes femmes entre 1940 et 1970, l’exposition inclut des pratiques artistiques nourries de diverses influences, allant du surréalisme et de l’art informel – en Europe ou en Amérique du Nord, comme du Sud, à l’abstraction calligraphique en Afrique du Nord, au Moyen-Orient et en Asie.
Les œuvres présentées, conçues à l’issue d’une guerre mondiale dévastatrice et de migrations forcées, signent une libération collective autant que personnelle, qui passe par la prise en compte des conditions matérielles, mais également humaines et naturelles, de leur création.
Au sein de l’exposition, la Fondation Vincent van Gogh Arles propose de porter le regard vers une création plus antérieure. Il s’agit de l’œuvre peinte de Vincent van Gogh, que beaucoup considèrent comme postimpressionniste et précurseur du fauvisme et de l’expressionnisme. Cinq de ses tableaux, réunis sous le titre « Sols fertiles », soulignent son apport vivace à l’histoire de l’abstraction gestuelle et matérielle.
L’exposition met en lumière d’autres apports majeurs à la création plastique à partir de 1945, en élargissant le panorama vers les tendances radicales et évènementielles (qui se développeront plus tard au cours des années 1960 et 1970 dans les domaines de la danse et de la performance). Ainsi, les genres conventionnels se superposent, se nourrissent les uns les autres et se dissipent.
Cette exposition itinérante est le fruit d’une étroite collaboration entre la Whitechapel Gallery, la Kunsthalle Bielefeld et la Fondation Vincent Van Gogh Arles.
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03 juin 2023 - 22 octobre 2023
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Cinq œuvres de l’artiste, réunies sous le titre « Sols fertiles », soulignent l’apport vivace du maître néerlandais à l’histoire de l’abstraction gestuelle et matérielle. Elles sont présentées du
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Cinq œuvres de l’artiste, réunies sous le titre « Sols fertiles », soulignent l’apport vivace du maître néerlandais à l’histoire de l’abstraction gestuelle et matérielle. Elles sont présentées du 3 juin au 22 octobre 2023.
Vincent van Gogh, Ravin avec un petit ruisseau,
Saint-Rémy-de-Provence, 1889
Huile sur toile, 32 × 41 cm
Van Gogh Museum (Vincent van Gogh Foundation), Amsterdam
Vincent van Gogh, Les épis verts, Arles, juin 1888
Huile sur toile, 54 × 65 cm
The Israel Museum Donation Fondation Hanadiv, Jérusalem
Vincent van Gogh, Paysage enneigé, Arles, février 1888
Huile sur toile, 38,2 × 46,2 cm
Solomon R. Guggenheim Museum, New York
Collection Thannhauser, don de Hilde Thannhauser, 1984
Vincent van Gogh, Arbres, Paris, juillet 1887
Huile sur toile, 46 × 38 cm
Van Gogh Museum (Vincent van Gogh Foundation), Amsterdam
Vincent van Gogh, Sous-bois, Paris, juillet 1887
Huile sur toile, 46 × 38 cm
Van Gogh Museum (Vincent van Gogh Foundation), Amsterdam
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03 juin 2023 - 22 octobre 2023
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Le Musée Paul Valéry invite Martial Raysse et lui consacre une importante exposition
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Le Musée Paul Valéry invite Martial Raysse et lui consacre une importante exposition.
Un ensemble significatif des œuvres de l’un des plus grands peintres français
contemporains est réuni dans ce qui s’annonce comme un double événement :
depuis la rétrospective du Centre Pompidou en 2014 et du Palazzo Grassi en 2015 à
Venise, Martial Raysse n’a plus souhaité exposer dans un musée. C’est à Sète, sur les
cimaises du Musée Paul Valéry, qu’il accepte aujourd’hui de montrer à nouveau ses
productions et de présenter ses œuvres les plus récentes.
Autour de plusieurs grandes toiles inédites – Le Lever du jour, 2020 (220 x 303 cm), La
Tombée de la nuit, 2021 (220 x 303 cm), La Peur, 2023 (300 x 400 cm), La Paix, 2023 (300
x 500 cm), – se déploie un ensemble de près de cent œuvres, rassemblant peintures,
sculptures et dessins.
Le travail de Martial Raysse est porté depuis les années 1960 par une volonté
d’expérimentation qui traverse son œuvre et l’a conduit à pratiquer toutes les
techniques de production d’images. L’exposition mettra en évidence les articulations
qui peuvent exister entre plusieurs pans de sa production.
Conciliant légèreté et gravité, Martial Raysse se livre à une méditation sur les rapports
entre l’art et le monde. Les modèles féminins venus de la grande peinture, empruntés
aux magazines ou bien tout simplement anonymes, sont élevés au rang de
personnages mythologiques incarnant autant de Dianes ou de Vénus
contemporaines. Quant aux grandes compositions, marquées par la violence et la
mort, elles empruntent autant à la peinture d’histoire qu’à la peinture allégorique.
Sous les dehors d’incarnations différentes, Martial Raysse donne à voir le théâtre
éternel des passions humaines, agitées par les tribulations du désir et de la mort.
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17 juin 2023 - 05 novembre 2023
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L’exposition retracera les 40 ans de créations de Jérôme Mesnager, mêlant vie et mouvement, il donne naissance à un corps de lumière
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L’exposition retracera les 40 ans de créations de Jérôme Mesnager, mêlant vie et mouvement, il donne naissance à un corps de lumière et de paix. L’exposition évoquera également son travail dans la rue puisqu’il fait courir ses bonhommes blancs de Paris à la Grande Muraille de Chine.
“JE PEINS DES TABLEAUX ET LA TOILE C’EST LE MONDE.”
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24 juin 2023 - 30 septembre 2023
Lieux
Parcelle 473
425 Av. des Frères Buhler, 34080 Montpellier
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Les images méconnues de la guerre d’Espagne (1936 – 1939) Quel impact peuvent avoir des photographies que leur auteur a choisi de garder secrètes ? Il y a quatre ans, dans une
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Les images méconnues de la guerre d’Espagne (1936 – 1939)
Quel impact peuvent avoir des photographies que leur auteur a choisi de garder secrètes ?
Il y a quatre ans, dans une maison près de Barcelone qui allait être démolie, deux boîtes rouges ont été retrouvées contenant 5 000 photographies sur la guerre d’Espagne (1936-1939) prises par Antoni Campañà i Bandranas (Arbúcies,1906 – St. Cugat del Vallès, 1989), l’un des plus grands photographes catalans du 20e siècle.
Pour quelles raisons a-t-il choisi de cacher son regard sur la guerre ? Il était catholique et pourtant il photographia la révolution anarchiste qui embrasa les églises de la capitale catalane. Il était libéral et nationaliste catalan, et pourtant il photographia la montée du fascisme espagnol dans les rues de Barcelone. Antoni Campañà n’était pas un héros. Il n’a pas choisi la guerre, mais elle l’a rattrapé. Et il n’a pas fui, il a continué à photographier, cherchant inlassablement la beauté à travers son objectif, car depuis son adolescence c’était sa passion. Jusqu’au coup d’État fasciste de l’été 1936.
Son appareil photo est synonyme de complexité. Il n’a pas photographié une ville en guerre, il a photographié sa ville en guerre, comme un pays se photographiant lui-même.
Contrairement aux grands photographes étrangers qui ont débarqué dans une Espagne déchirée, Campañà connaissait intimement la réalité du terrain. A la différence d’autres grands photographes de son pays, il n’a pas mis son appareil photo au service d’une cause idéologique. Il s’en est servi uniquement pour exprimer sa propre douleur.
Il ne prenait pas des photos dans un but politique, mais toutes les parties en conflit ont tiré parti de son extraordinaire capacité d’évocation, plus qu’elles ne le firent avec d’autres photographes. En écrivant des légendes radicalement différentes, les républicains et les fascistes ont manipulé les mêmes photographies de Campañà à des fins propagandistes antagonistes, démontrant que celui qui écrit la légende s’approprie toujours l’image.
Après la fin de la guerre, en 1939, il conserva ses cinq mille photographies – presque toutes inédites – dans deux boîtes rouges qu’il refusa d’ouvrir et ce, même à la mort de Franco, quarante ans plus tard : il ne voulait pas que la dictature utilise ses photos pour identifier et punir les combattants républicains. Comme tant et tant d’Espagnols, il souhaitait avant tout oublier. Ainsi il a caché ses icônes de douleur dans les deux boîtes que nous ouvrons à présent.
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29 juin 2023 - 10 décembre 2023
Lieux
Pavillon Populaire
Esplanade Charles-de-Gaulle, 34000 Montpellier
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Les sculptures de Katinka Bock, en céramique, pierre, bois ou métal entretiennent des liens profonds avec les sites dans lesquels elle expose, l’architecture du lieu qui l’accueille ou même parfois
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Les sculptures de Katinka Bock, en céramique, pierre, bois ou métal entretiennent des liens profonds avec les sites dans lesquels elle expose, l’architecture du lieu qui l’accueille ou même parfois le contexte culturel, historique ou social d’une ville.
Lorsqu’elle visite pour la première fois le lieu où elle va exposer, elle « prend la température » de l’espace, observe sa forme, l’articulation des salles entre elles, la circulation de la lumière et des fluides du bâtiment, mais également la manière dont celui-ci s’inscrit dans un quartier, une ville, quels usages en font les personnes qui le traversent ou l’habitent. Comment il est « travaillé », de l’intérieur et de l’extérieur.
À Sète, Katinka Bock s’est intéressée à l’omniprésence de l’eau. La mer d’un côté, l’étang de l’autre, les canaux qui structurent la ville imprègnent profondément l’imaginaire et la culture. Le nouveau film produit pour l’exposition, tourné sur les plages et les canaux de Sète, consiste en un montage de plans tournés avec sa caméra Super8, comme une série de notes visuelles. La ville est filmée depuis les canaux, et donne la sensation d’être toujours vue « du bord ». Une notion chère à l’artiste dont les sculptures matérialisent la question du seuil, de la limite, de la distance entre les objets, entre les corps et les espaces.
Elle soulève aussi la question de savoir ce qui nous relie, ce qui nous tient ensemble ou nous sépare.
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Date(s)
01 juillet 2023 - 07 janvier 2024
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Première rétrospective majeure du peintre allemand qui a repositionné la peinture figurative dans les discours
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Première rétrospective majeure du peintre allemand qui a repositionné la peinture figurative dans les discours artistiques contemporains.
Une sélection d’œuvres des années 90 à nos jours retrace son parcours. Réputé pour ses scènes énigmatiques mêlant onirisme et historicisme inspirées du passé de la République démocratique allemande, Neo Rauch est le chef de file de la nouvelle École de Leipzig, mouvement allemand de peinture contemporaine figurative.
Les commissaires
Sous la direction artistique de Numa Hambursin, Directeur général
Commissariat : Pauline Faure, Curator et Deniz Yoruc, Assistante Curator
MO.CO. Montpellier Contemporain bénéficie du soutien financier de la Direction Régionale des Affaires Culturelles Occitanie, de Montpellier Méditerranée Métropole et de la Ville de Montpellier.
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Date(s)
08 juillet 2023 - 15 octobre 2023
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Pendant l’été 2023 et pour quatre mois, le musée Fabre de Montpellier Méditerranée Métropole dédie pour sa saison estivale l’ensemble de son espace d’exposition temporaire à la sculptrice Germaine Richier
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Pendant l’été 2023 et pour quatre mois, le musée Fabre de Montpellier Méditerranée Métropole dédie pour sa saison estivale l’ensemble de son espace d’exposition temporaire à la sculptrice Germaine Richier (1902-1959). Cette rétrospective d’envergure organisée en collaboration avec le Centre Pompidou de Paris, qui ouvre le bal du 1er mars au 12 juin 2023, prend tout son sens dans la région Occitanie avec laquelle l’artiste entretenait des liens étroits puisqu’elle a été formée à l’École des Beaux-Arts de Montpellier après avoir grandi aux portes de la ville. Le paysage de la garrigue, sa nature indisciplinée, la faune et la flore méditerranéenne, ont indéniablement nourri son imaginaire. À travers un ensemble de près de 200 œuvres, illustrant les différents moments de sa carrière profuse, cette rétrospective offre un nouveau regard sur celle qui fut la première artiste femme exposée de son vivant au Musée national d’art moderne en 1956 et qui a acquis une renommée internationale.
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Date(s)
12 juillet 2023 - 05 novembre 2023
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“Surréalisme du songe et banalité du quotidien.”
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“Surréalisme du songe et banalité du quotidien.”
. Permettez-moi de vous entraîner dans mon univers à travers mes œuvres. J’utilise principalement de l’encre, de la peinture à l’huile et des crayons de couleur. Les scènes de vie sensuelles ou les natures mortes sont mes préférées. J’ai tendance à faire des séries car j’utilise mes différentes obsessions comme sujets. Comme l’exposition « la chaise verte ». Mon travail part généralement d’une pensée écrite. J’ai par exemple créé un magazine sur la Terre Mère, en 2021. En tant qu’artiste qui aime aller le plus loin possible, j’en ai réalisé des dessins et une installation à son sujet pour le 10e anniversaire de la Galerie Éphémère. J’aime penser que mon art invite les gens à rechercher des détails et des significations cachées. Chaque dessin, peinture ou écriture est une histoire entre rêve surréaliste et banalité du quotidien.
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Date(s)
31 août 2023 - 30 septembre 2023
Lieux
Galerie Zoom
49 Rue Pierre Semard, 34200 Sète
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Anne Clergue Galerie est heureuse de présenter le travail de Mi-Yeon, à travers 34 photographies de la série « KUU » prises au cours
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Anne Clergue Galerie est heureuse de présenter le travail de Mi-Yeon, à travers 34 photographies de la série « KUU » prises au cours de ses promenades dans la nature. « KUU » est un enseignement fondamental du boudhisme qui se traduit par « vide ». De ces errances, la photographe nous propose un questionnement philosophique : comment représenter la nature dans son immensité, dans son insaisissabilité ? Comment cerner le vide au sein de la matière qui lie les choses entre elles mais reste insaisissable ?
Enfant, Mi-Yeon se rendait au temple avec sa mère en Corée du Sud. Temps de méditation nécessaire au cœur de la nature et du silence majestueux des temples bouddhistes, ces balades sont aujourd’hui un rituel. Désormais, les moments de calme et de silence sont devenus rares dans notre vie quotidienne. Mi-Yeon nous offre une pause et nous invite à nous immerger dans la nature.
Son travail sur la texture des végétaux dialogue avec la couleur des nuages et donne toute sa poésie à l’image. En jouant avec le flou et le zoom sur des détails, Mi-Yeon nous réapprend à voir, à regarder autrement ce qu’on ne distingue plus dans notre quotidien, à se pencher avec toute sa sensibilité sur le silence du vide autour de nous.
Réfléchir sur la lumière et le vide revient à s’intéresser à ce qui fait le lien entre les différents éléments du réel, ce qui fait la vie, de l’échelle moléculaire à l’échelle céleste avec une grande légèreté.
Cette série est une tentative d’exprimer le vide à travers un paysage que Mi-Yeon a rencontré, évoquant l’impermanence de la matière malgré le passage du temps et la présence imposante du vide. Ainsi elle initie une pensée qui aboutit à une conversation entre la nature et soi-même à travers ses images.
Née à Séoul en Corée du Sud, Mi-Yeon habite à Tokyo. Elle a étudié la photographie à Paris chez ICART. Son travail s’inspire de la philosophie, de la pensée et de la religion, le thème majeur étant « la certitude ou l’incertitude de l’existence ». Elle enseigne les arts décoratifs à l’institut de design de Nagaoka au Japon. Cette série a été réalisée entre 2016 et 2023, en France et en Asie. Elle fait suite à la série « I and Thou » exposée en 2016 à la galerie.
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Date(s)
02 septembre 2023 - 14 octobre 2023
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C’est l’événement de la rentrée à Nîmes, elle attire chaque année 5000 visiteurs, elle est optimiste, son effusion de couleurs, sa créativité et sa bonne humeur sont rafraîchissantes
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C’est l’événement de la rentrée à Nîmes, elle attire chaque année 5000 visiteurs, elle est optimiste, son effusion de couleurs, sa créativité et sa bonne humeur sont rafraîchissantes : l’Expo de Ouf!, organisée par l’association Le Spot a pour nom cette année « Osons rêver fort » et se déroulera du 9 au 30 septembre à Nîmes.
Comme lors des précédentes éditions, ses points d’orgue seront le vernissage de l’exposition collective 8, rue Enclos Rey le 9 septembre et la décoration des façades des habitations des quartiers Gambetta et Richelieu par 10 artistes muralistes.
Le festival en quelques dates :
Le 29 septembre à 18h30 : La Chauffe de Ouf! Lever de rideau au cinéma Le Sémaphore sur les coulisse des événements en compagnie des partenaires du festival. Interviews et projections. Fin de soirée au bar Le Prolé. Le Sémaphore, 25 Rue Porte de France, 30900 Nîmes. Le Prolé, 20 Rue Jean Reboul, 30900 Nîmes.
Du 28 au 31 août : Ateliers graffiti avec Da Storm. Plus d’informations et réservation tourniermaite@gmail.com
À partir du 9 septembre : Parcours Audio Raje. Alexandre et Sarah de Radio Raje capturent les souvenirs et émotions des habitants, propriétaires, artistes et équipes ayant travaillé au festival de l’Expo de Ouf ! Suivez le parcours QR Code en bas des fresques pour accéder à leurs histoires.
Le 9 septembre à 18h : Vernissage de l’Expo de Ouf ! 11 – exposition collective – performances artistiques et Dj set. Le Spot, 8 Rue de l’Enclos Rey, 30000 Nîmes.
Le 14 septembre à 18h : concert de post-punk avec Puta-Puta et Maria Violenza. Troublant-Production. Tarif : 7 € Le Spot, 8 Rue de l’Enclos Rey, 30000 Nîmes.
Le 16 septembre à 18h30 : vernissage à la boutique N58 de l’artiste urbaine Amsted. 58 Bd Gambetta, 30000 Nîmes.
Les 19 et 26 septembre à 20h30 au Sémaphore : projections de films documentaires autour des cultures urbaines. Tarifs Sémaphore. 25 Rue Porte de France, 30900 Nîmes.
Le 24 septembre : journée 100% décalée avec un Loto de Ouf !, et des visites théâtralisées. Le Spot, 8 Rue de l’Enclos Rey, 30000 Nîmes.
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Date(s)
09 septembre 2023 - 30 septembre 2023
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Né en 1979, Jean Denant vit et travaille à Sète. Diplômé des Arts Appliqués et de l’école des Beaux-Arts de Toulouse,
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Né en 1979, Jean Denant vit et travaille à Sète. Diplômé des Arts Appliqués et de l’école des Beaux-Arts de Toulouse, il est représenté depuis plusieurs années Par la galerie Anne de Villepoix à Paris et la galerie Rocio Santa Cruz Barcelone. Aux frontières de la peinture, de l’architecture, du design ou encore de la sculpture , il développe une pratique plurielle posant la question des matériaux, des gestes laborieux et des identités. Son travail est aujourd’hui largement diffusé en France et à l’étranger avec des expositions personnelles et collectives à Paris, Berlin, Bruxelles, Barcelone, Genève et sur la scène artistique de la jeune création internationale avec des projets en Russie, en Chine, au Venezuela, aux Emirats Arabes unis, en Corée, aux Etats-Unis.Il est présent sur les grands évènements internationaux comme la FIAC à Paris, l’ARCO de Madrid , ART Brussels.. Il fait partie de nombreuses collections prestigieuses publiques et privées telles que La Fondation Carmignac, le royaume de Belgique, la Fondation Liedts-Messen, le FRAC Languedoc Roussillon, la Fondation Villa Datris notamment. Son œuvre « Mare Nostrum » a été choisie par la Présidence de la République Française comme cadeau diplomatique à Sa Majesté Mohammed VI Roi du Maroc, en marge de la Cop22 en 2016 à Marrakech.
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Date(s)
14 septembre 2023 - 25 novembre 2023
Lieux
La Galerie Gagliano
7 Place d'Assas, 30 033 Nîmes
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La Halle Tropisme accueille pendant 7 jours une exposition collective d’une quinzaine de designer·euse·s montpelliérain·e·s. Leur point commun ? Travailler des heures, des semaines, des mois, des nuits pour concevoir un
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La Halle Tropisme accueille pendant 7 jours une exposition collective d’une quinzaine de designer·euse·s montpelliérain·e·s.
Leur point commun ? Travailler des heures, des semaines, des mois, des nuits pour concevoir un beau livre, une typographie parfaite, une identité visuelle unique, un site web efficace, une chaise confortable, une illustration impactante, une animation pertinente, un service innovant… L’occasion de saisir les enjeux de tous les champs du design.
Sur 230 m2, les designer·euse·s exposent leur processus créatif, les essais, les matières premières (tangibles ou non), les échantillons, les pistes de recherches sur un projet qui leur tient à cœur.
Venez déambuler et expérimenter le design à travers une exposition et des animations sur des temps forts :
› VERNISSAGE JEUDI 21 SEPTEMBRE 2022 À 19H
› ATELIERS :
Le week-end du 23-24 septembre et le mercredi 17.
› SOIRÉE PRO :
Mardi 26 septembre de 18h à 20h.
Plus d’infos et inscriptions sur notre agenda à venir.
INFOS PRATIQUES
Gratuit – Entrée libre
HORAIRES DE VISITE
Jeudi 21 : dès 18h (vernissage à partir de 19h)
Vendredi 22 : 17-20h
Samedi 23 : 14-20h
Dimanche 24 : 10-15h
Lundi 25 : 17-20h
Mardi 26 : 17-20h
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Date(s)
21 septembre 2023 - 27 septembre 2023
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Favoriser une meilleure compréhension du monde à travers la pratique et la culture du voyage, c’est la mission que les organisateurs du festival
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Favoriser une meilleure compréhension du monde à travers la pratique et la culture du voyage, c’est la mission que les organisateurs du festival What a Trip ! Montpellier se sont donnée en 2016 en organisant un festival fédérateur pour la communauté des voyageurs.
Voilà pourquoi chaque année, à la fin du mois de septembre, la place royale du Peyrou de Montpellier se transforme en bivouac géant durant 4 jours en accueillant le festival international du film de voyage et d’aventure !
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Date(s)
26 septembre 2023 - 01 octobre 2023
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FÊTE DE LANCEMENT DE LA SAISON 23.24 Rendez-vous le mercredi 27 septembre à l’Agora pour un moment convivial où tous
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FÊTE DE LANCEMENT DE LA SAISON 23.24
Rendez-vous le mercredi 27 septembre à l’Agora pour un moment convivial où tous les espaces vous seront ouverts !
Au programme : ateliers de danse, performances, projections, rencontres, studios ouverts…
Des stands de restauration légère seront présents sur place.
→ Entrée libre
→ L’inscription est obligatoire. Pour être tenu informé, inscrivez-vous à la newsletter.Fiestagora
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Date(s)
27 septembre 2023
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Maintenant que la St-Louis a éteint ses derniers feux, que l’été entame sa pente douce, il reste des beaux
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Maintenant que la St-Louis a éteint ses derniers feux, que l’été entame sa pente douce, il reste des beaux jours à venir, dans l’île singulière, et un événement majeur, auquel les Automn’Halles, le festival du livre, est directement attaché : les 350 ans de la ville de Sète, fêtés en grande pompe, avec un programme plus qu’alléchant, dans les rues et dans les lieux de culture et de rencontre. Nous célébrerons Colette au musée Paul Valéry, recevrons Pascal Quignard et sa pianiste au Conservatoire, Ruben au Réservoir,
Bordas au CRAC, Pierre & Ferrandez nous parleront de l’Algérie à la Médiathèque Mitterrand, les élèves du collège Paul Valéry harangueront la foule de leurs mots vifs, les auteurs et éditeurs locaux prendront la rue le dimanche… Le concours de nouvelles rendra son verdict, des ateliers d’écriture seront menés ici et dans l’agglo, autant d’événements marquants, cette année encore, pour mettre, comme tous les ans, le livre au cœur de la ville, sans prétention mais avec exigence. Ce beau festival, qui tient sa 14e édition en 2023, est un moment essentiel de la vie culturelle sétoise. C’est bien qu’il vive, et c’est grâce à vous – qui viendrez rencontrer les auteurs, mener la discussion, partager un moment de convivialité – qu’il vivra.
Amitiés littéraires
Laurent CACHARD
Président des Automn’Halles, festival du livre de Sète.
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Date(s)
27 septembre 2023 - 01 octobre 2023
jeu28sep19h3019h30 MPLEvénementCONCERTSRosckstoreVilleMontpellierChanson Française/ Pop Frétillante/
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Cédric, Manu, Arthur, Julien et Andreas forment ensemble le groupe MPL. En 2020, leur deuxième album L’Étoile les fait sortir de la confidence dans laquelle ils évoluaient jusqu’alors. Avec
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Date(s)
28 septembre 2023
jeu28sep20h0020h00 Florent PeyreEvénementTHÉÂTRELe KiasmaVilleCASTELNAU-LE-LEZNature
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Sans fard et sans artifice, Florent Peyre interprète tous les membres d’une troupe de comédie musicale, un soir de première… Entre le one-man-show et la pièce de théâtre, il incarne
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Sans fard et sans artifice, Florent Peyre interprète tous les membres d’une troupe de comédie musicale, un soir de première… Entre le one-man-show et la pièce de théâtre, il incarne en même temps plus d’une vingtaine de personnages et pas moins de 5 animaux (dont 4 en voie de disparition…) dans une performance unique et jubilatoire ! Florent Peyre et son spectacle Nature, c’est l’écologie tout en humour, l’occasion de rire ensemble et de partager quelques solutions pour être plus écolo au quotidien.
« La volonté c’est d’aborder le thème de l’écologie, sans le ton moralisateur et sous plusieurs prismes ».
Un spectacle qui stimule l’imaginaire !
Distribution / Florent Peyre
Mise en scène / Eric Métayer
Musiques Pascal Obispo
Écrit par Florent Peyre, Philippe Caverivière, Matthieu Brunel
Durée 1h45
Tout public
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Date(s)
28 septembre 2023
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WE HATE YOU PLEASE DIE Pop-Rock Voguant désormais en trio, We Hate You Please Die est de retour avec une nouvelle proposition artistique à la
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WE HATE YOU PLEASE DIE
Pop-Rock
Voguant désormais en trio, We Hate You Please Die est de retour avec une nouvelle proposition artistique à la puissance rock, et la volonté de renouveau. Chloé, désormais en tête avec sa basse, insuffle l’énergie, engageant désormais le message autour des questions sociétales et anti-patriarcales. D’un punk explosif et torturé, We Hate You Please Die se réconcilie aujourd’hui avec une mouvance plus Riot Grrrl et Punk UK debut 90’s dont la sororité reste indiscutable.
Dewaere
Post-Rock
Déflagration noise-punk français mené par Maxwell Farrington, Julien Henry à la guitare, Marc Aumont à la basse & Franck Richard à la batterie DEWAERE, est une invitation frénétique à l’action entre guitares acides et batterie déchaînée. Après une tournée enflammée, DEWAERE revient en 2022 avec « What is pop music anyway? », un deuxième opus sur le label À Tant Rêver du roi. Des performances incandescentes où se mêlent harmonies lumineuses et furie punk.
- Location Unique : 6€ €
- Pop-Rock / Post-Rock
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Date(s)
28 septembre 2023
jeu28sep20h0020h00 Les Sans PattesEvénementCONCERTSThéâtre Molière - SèteVilleSète
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Robert Combas – Lucas Mancione Les Sans Pattes – le duo rock-électro fondé par le peintre Robert Combas et le plasticien Lucas Mancione, et qui s’est enrichi depuis
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Robert Combas – Lucas Mancione
Les Sans Pattes – le duo rock-électro fondé par le peintre Robert Combas et le plasticien Lucas Mancione, et qui s’est enrichi
depuis avec la participation du plasticien Marc Duran et du saxophoniste Lionel Martin – se produit au Théâtre Molière à
l’occasion des 350 ans de la fondation de la ville de Sète.
À l’exception de Lionel Martin, rencontré lors d’une exposition, les membres des Sans Pattes sont tous originaires de Sète dont ils portent chacun à leur manière l’esprit libertaire et chantant, insulaire et pourtant ouvert à tous les horizons.
Tous les textes des Sans Pattes, hautement visuels et poétiques, sont écrits et chantés par Robert Combas. Les vidéos surréalistes et envoûtantes ainsi que la musique sont des créations originales de Robert Combas et Lucas Mancione. Tantôt mélancolique, tantôt romantique et tendre, tantôt emportée, tantôt acoustique, tantôt électrique, la musique des Sans Pattes prolonge le souffle punk-rock présent dès l’origine chez Robert Combas.
Les Sans Pattes – à quatre musiciens comme à quatre temps – nous invitent à un set musical mêlant projections vidéo et
musique live pour nous faire balancer et rouler dans un stupéfiant tableau vivant.
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Date(s)
28 septembre 2023
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Du 29 septembre au 1er octobre 2023, Médecins sans frontières vous invite à son festival : le festival sans frontières ! Durant tout le week-end se tiendront diverses rencontres, parmi lesquelles
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Du 29 septembre au 1er octobre 2023, Médecins sans frontières vous invite à son festival : le festival sans frontières !
Durant tout le week-end se tiendront diverses rencontres, parmi lesquelles des expositions photographiques et artistiques, conférences, ateliers et débats avec des acteurs de l’humanitaire et des intervenants extérieurs pour discuter des grands enjeux qui animent l’organisation ;
Ouvert à tous et gratuit, cet évènement est l’occasion de se réunir autour d’expositions, échanges, musique, artistes, spectacles et ateliers, mais aussi de mettre en valeur les productions et thématiques de Médecins Sans Frontières.
PROGRAMMEEXPOSITIONS
À Port-au-Prince, la vie au gré des gangs
Une exposition réalisée par MSF pour la 29ème édition du Prix Bayeux Calvados – Normandie des correspondants de guerre.
Les Rescapés, par Michael Bunel
Travail photographique par Michael Bunel, photojournaliste ayant effectué deux rotations à bord du Geo Barents, le navire de recherche et de sauvetage de MSF.
SOIRÉES
Vendredi 29 septembre à 19h30 – Épidémies : quelles nouvelles menaces ? Samedi 30 septembre à 19h30 – Accueil et migration : sortir des fantasmes
ET AUSSI
Des échanges avec des travailleur·euse·s humanitaires, des podcasts, des discussions, des spectacles dont “Migrando” pièce de théatre par Carla Bianchi,
soirée dansante, showcase, carnétistes…
Avec
Le 29 sept. – Epidémies : quelles nouvelles menaces ?
Dr Yazdan Yazdanpanah – Infectiologue, chef du service de maladies infectieuses et tropicales de l’hôpital Bichat-Claude-Bernard, directeur de l’ANRS, membre du Conseil scientifique Covid-19 et membre du Care (Comité analyse, recherche, expertise) de mars à juillet 2020.
Eric Delaporte – Professeur CHU Montpellier Maladies Infectieuses et Tropicales, membre de l’unité « Transitions épidémiologiques, recherches translationnelles appliquées au VIH et aux maladies infectieuses » (TransVIHMI), de l’IRD, université de Montpellier.
Almudena Saez – Anthropologue de la Santé, IRD.
Son parcours scientifique se concentre autour des facteurs socioculturels et écologiques qui facilitent l’émergence des maladies, plus précisément les interactions homme-animal-environnement (One Health), ainsi que l’investigation des épidémies et les logiques de réponse à celles-ci.
DR Antoine Nkuba – Médecin et chercheur à l’Institut National de Recherche Biomédicale (INRB) de la RDC et au Département de Biologie Médicale des Cliniques Universitaires de Kinshasa (CUK), lauréat du prix de thèse “ANRS | Maladies Infectieuses Emergentes / Société Française de Virologie” 2023, pour sa thèse « Les virus émergents en République Démocratique du Congo : caractérisation de la réponse immunitaire humorale contre Ebola et le SARS-CoV-2 », menée sous la direction d’Eric Delaporte à l’IRD, université de Montpellier.
Le 30 sept. – Accueil et migration : sortir des fantasmes
Xavier Crombé – Chef de la Mission France
Collectif Montpelliérain Migrants Bienvenue 34, qui agit sur le plan de la solidarité concrète et sur celui plus politique de la visibilisation de la situation des migrants et des causes qui mènent à cette situation.
Léa Enon-Baron – Co-directrice de l’Association Nationale des Villes et Territoires Accueillants (Anvita).
Florence Brau – Maire de Prades-le-Lez. Adhérente au réseau Anvita à titre individuel depuis 2019, elle a réussi à faire adhérer sa collectivité le 16 mai 2023, donc tout récemment.
Modération par Nora Hamadi, journaliste-présentatrice, spécialiste des questions européennes
INFOS PRATIQUES
Gratuit
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Date(s)
29 septembre 2023 - 01 octobre 2023
sam30sep21h3021h30 PI JA MA + POPPY FUSÉEEvénementCONCERTSCargo de NuitVilleArles
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PI JA MA
Découverte par le public dans l’émission Nouvelle Star en 2014, Pauline de Tarragon alias PI JA MA (né de sa collaboration avec Axel Concato : l’autre moitié de PI JA MA) a sorti au printemps 2022 son deuxième album appelé Seule sous ma Frange. En février 2023, elle sort l’extension de cet album en y ajoutant 4 nouveaux titres.
Avec un mélange de sonorités pop, disco et électro, Seule Sous ma Frange (extension) parle d’amour, de sentiments mais aborde aussi des thèmes plus sombres comme la dépression, la solitude ou encore la séparation. On y trouve des titres denses et personnels : PI JA MA raconte des histoires dont la sienne avec des morceaux en français mais aussi en anglais.
Après avoir fait la première partie de Juliette Armanet, PI JA MA s’envole et démarre cette année sa tournée dans toute la France !
POPPY FUSÉE
Après 13 ans consacrés au duo Part Time Friends (3 albums, 3 EPs et 2 tournées), Pauline Lopez de Ayora part de son côté et crée Poppy Fusée ! Elle dévoile son premier single : Pesanteur écrit il y a six ans avec son ami d’enfance Clément Doumic, le guitariste de Feu Chatterton. Poppy Fusée décolle !
Avec La Lune, elle nous offre un projet solo et personnel, nous faisant rentrer dans sa lumineuse galaxie mélancolique. Cet EP nous invite à un voyage résolument pop dont les notes vocales et autres enregistrements sonores personnels (plages, vents, etc) viennent délicatement donner vie au poétique monde intérieur de Poppy Fusée.
©Florian Salabert et ©Pauline Darley
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Date(s)
30 septembre 2023